1. La révélation !


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, poilu(e)s, hotel, voyage, fsoumise, miroir, Masturbation facial, Oral préservati, pénétratio, sm, attache, fouetfesse, confession, extraconj, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... général, les hommes ont une autre envie, celle de me serrer dans leurs bras, de me caresser, et pour le reste je m’en charge. Mais il est inaccessible. Un peintre ou un sculpteur qui place son modèle… et j’imagine Gustave Courbet installer le sien pour peindre « l’Origine du monde ». Constance, danseuse à l’Opéra, avait au moins sa toison pour se dissimuler. Moi, non…
    
    — Caresse-toi.
    
    La parole est accompagnée de gestes. Il saisit mes mains, en guide une vers ma fente et pose l’autre sur un sein.
    
    Il s’installe en face de moi. Spectateur du premier rang et aussi metteur en scène.
    
    Combien de fois me suis-je caressée devant mon mari alors que lui se branlait ? Le réseau nous le permet lorsque je suis en déplacement. Je l’ai même souvent fait, dans l’intimité de notre chambre, pour l’exciter avant de venir m’empaler sur son dard dressé juste par la vision de son épouse, coquine, cochonne et salope… Ces séances à distance ne sont que des succédanés, mais me permettent de relâcher la pression, en tout cas de façon plus agréable que toute seule même avec l’aide d’un sex-toy.
    
    Il doit voir que je suis mal à l’aise. On aura tout vu, une pute, fut-elle française, pudique.
    
    — Tu veux que je baisse la lumière ?
    — Oui, s’il vous plaît.
    
    Client, mais gentlemen !
    
    Nous nous regardons. Je vois du désir dans ses yeux, mais ils m’intimident. Je ferme mes paupières. La chambre est silencieuse, mais une musique particulière attire mon attention. J’identifie très vite ...
    ... l’origine. Les chambres sont très mal isolées et ce que j’entends est un couple qui fait l’amour. De sa chambre, il y a la même musique que dans la mienne hier soir. S’il était déjà là, il a dû aussi les entendre ! Je me caresse machinalement.
    
    J’ouvre les yeux. Il sourit et il me dit tout en faisant un geste vers la cloison.
    
    — Tu entends, ils baisent.
    
    Oui, je les entends. J’entends distinctement les cris de la femme et cela me suffit à imaginer l’homme la posséder avec entrain.
    
    Je me caresse. Cette musique est douce à mes oreilles alors que la nuit dernière, dans la solitude de ma chambre, cela me faisait mal, remuant mes désirs enfuis, et a participé à la décision d’utiliser le « joker » qu’Alexandre m’avait donné.
    
    Je me caresse. L’homme me regarde et détache les boutons de sa chemise. À côté, après les derniers cris, le silence est revenu, mais il a passé le flambeau. J’ai chaud. Je sens ma sueur couler entre mes seins.
    
    La chemise passe les bras. Elle tombe à terre. Son torse est puissant, son cou de taureau, la toison est partout, brune, dense, sauvage. Il a du ventre, mais même ça contribue à sa virilité. Il passe ses mains sur son torse comme pour montrer sa puissance, ses muscles. Il passe sur ses tétons sans s’attarder. Est-il sensible à ce genre de caresses ? Probablement pas. Il est trop « nature » pour s’attarder à ce que son corps pourrait lui révéler de féminité.
    
    Il se penche pour défaire ses bottes et se lève pour descendre son pantalon. Il ne porte ...
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