La révélation !
Datte: 22/05/2023,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
hotel,
voyage,
fsoumise,
miroir,
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
sm,
attache,
fouetfesse,
confession,
extraconj,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... de se faire « tringler », mais il lui faut provoquer et exciter ce partenaire d’une fois. Quoi de mieux que cette lingerie provocante ? En mon for intérieur, je me rassure en me disant que c’est pour ne pas mélanger l’épouse et la mère de famille avec la femelle aux besoins indécents.
Ses gestes sont éloquents. Je prends ses paroles pour des compliments. Mieux, je les comprends. C’est comme si je comprenais sa langue. Celle de tous les hommes avec une femme.
— Pas mal. Continue.
Je détache mon soutien-gorge. Comme la culotte, je l’ai acheté en Thaïlande. J’ai eu du mal à trouver ma taille, il est même un peu petit pour moi, mais il n’y a pas mieux pour servir de présentoir parfait à mes seins. Il ne fait que « soutenir », laissant les tétons bien en évidences. Il fait toujours son effet et, avec la culotte string minimaliste – pléonasme sorti du rang – sur une chatte parfaitement épilée, l’homme sait que je ne suis pas avec lui pour parler culture.
Il se lève alors que j’enlève ma culotte. Il est tout près de moi. Il sent bon. La vie est pleine de surprises. L’apparence est trompeuse. Il pose sa main sur mon épaule. Là aussi, je suis surprise. Elle est douce. Non, sa paume est douce, mais ses doigts sont comme son visage, rugueux.
Son autre main enveloppe un sein. Je sursaute. Il le malaxe, tire sur le téton et le roule entre ses doigts dont je sens la rugosité étonnante. Il explore mon corps, sans réelle brutalité, mais cela me transforme en une femme-objet, ...
... femelle de chair que l’homme ausculte, un peu comme cela devait se passer concernant les esclaves.
Mes seins, mon ventre, mes hanches, mes fesses sont examinées. Étonnamment, la rugosité de ses doigts me trouble. Les paumes survolent, les doigts passent sur moi comme ceux d’un aveugle qui lirait du Braille.
Sans retenue, une main se plaque sur mon intimité. Elle bouge. Je crois qu’il va pousser plus loin l’exploration, mais non, il recule. Je suis presque déçue. Je veux l’attraper, le faire venir à moi, le caresser, le dénuder comme le font toutes les femmes et probablement plus encore les putes. Oui, car je n’oublie pas que pour lui je suis une pute. Une pute française avec manifestement une aura particulière.
— Non. Ne bouge pas.
Je ne parle pas espagnol, mais je connais assez de mots pour compléter ce que son corps me raconte. Il avance une chaise qu’il place en face d’un fauteuil.
— Assieds-toi.
Je m’exécute. C’est un siège profond avec des accoudoirs, d’un style d’une autre époque. Le cuir est tiède malgré la climatisation. Mais cela ne lui suffit pas. Avec délicatesse, il pose les mains sur une jambe et, la soulevant, la guide pour qu’elle repose sur l’accoudoir.
— Oui… Voilà… Bien… Ne bouge pas.
Il sourit. Placée ainsi, je suis grande ouverte pour que son regard se pose sans retenue sur mon intimité. Je suis plus que nue, ouverte, sans artifice, exposée sans pudeur.
Je ne m’attendais pas à cela. Sans avoir accumulé de nombreuses aventures, en ...