1. Sa meilleure petite grande amie


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, boitenuit, Oral pénétratio, nonéro, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... allongés tous les deux, l’un à côté de l’autre, récupérant petit à petit nos forces, ce qui ne m’empêche pas de jouer avec une verge qui durcit lentement sous mes doigts. J’aime beaucoup ce genre de démonstration de ma puissance sur un homme !
    
    Sa main sur mon ventre, Ghislain me dit :
    
    — Rappelle-toi, ma mignonnette, la Saint-Nicolas fut aussi une bonne surprise, à la fois pour toi et pour moi.
    — Surtout pour toi, Ghighi !
    — Ah bon ? N’est-ce pas toi que j’ai entendu jouir ce jour-là comme une petite folle ?
    — Je… tu… tu me fais toujours jouir…
    
    Capturant mon sein à sa base, il embrasse le bout de mon téton :
    
    — Je suis flatté que tu le reconnaisses. Mais cette fois-ci, ça a été un peu différent, non ?
    — Bon, bon, bon, d’accord, ça a été un peu différent. Oui, dans le feu de l’action, on fait parfois beaucoup de choses. Mais je n’aime pas trop qu’on en discute ensuite, si tu veux bien. Ça me gêne…
    — Il y a ce qu’on fait dans les parenthèses et ce qu’on fait en dehors des parenthèses ?
    — Oui, c’est tout à fait ça…
    
    Tout en continuant de le masturber, de mon autre main, je caresse sa joue :
    
    — Mon chéri, je reconnais que tu m’aides beaucoup à me débloquer, à me libérer, et même que parfois, ça va plus loin que je ne l’aurais imaginé. Mais… mais je ne suis pas encore capable d’en discuter aussi sereinement que toi.
    — Peut-être plus tard, dans ce cas…
    — Peut-être, je ne sais pas. Avec toi comme compagnon très cochon, je préfère ne rien prédire.
    — Moi ? Un ...
    ... compagnon très cochon ? Moi, qui suis fou d’amour pour toi ?
    — L’un n’empêche pas l’autre… C’est quelqu’un que je connais bien qui m’a appris ce genre de dualité.
    
    Il se met à rire, et moi aussi. Puis nous nous embrassons à nouveau, tandis que je délaisse son sexe pour mieux enlacer mon amant. Ma vie est devenue plus simple avec Ghislain, c’est indéniable. Cependant, j’aurais aimé que ce soit Naudin qui vive avec moi, à condition de l’avoir transformé à l’image de son grand frère. J’aurais eu ainsi le plaisir d’avoir façonné mon homme, mais bon, le destin en a décidé ainsi, me faisant jouer un autre rôle.
    
    Je sais qu’aux yeux de certaines personnes, je passe plus ou moins pour une femme entretenue. D’autres me voient comme le jouet d’un homme plus âgé. Je m’en fiche, car je sens confusément que, pour Ghislain, je suis la femme de sa vie ; à moi de répondre un minimum à ses attentes, ce qui n’est pas difficile, d’autant que je me sais désirée et aimée par une version plus mature et expérimentée de mon indécis de Naudin.
    
    — Ghighi ?
    — Oui, ma mignonnette ?
    — Tu m’aimes ?
    — Quelle question ! Bien sûr que je t’aime ! Je t’adore tellement que je voudrais te dévorer toute crue !
    
    Je me mets à rire, puis je le repousse gentiment :
    
    — Non, non, gros cannibale ! C’est à moi de te dévorer tout cru !
    
    J’approche ma tête de son entrejambe, où gît un sexe redevenu un peu flasque. La tige se redresse quand je la prends à nouveau en main. Je joue un peu avec la colonne de ...