1. Sa meilleure petite grande amie


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, boitenuit, Oral pénétratio, nonéro, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ton nombril, une jupette courte… et tiens, ajoutes de grandes chaussettes blanches et des couettes à tes cheveux ! Et rien en dessous, bien sûr !
    — T’es un gros pervers dans ton genre ! T’es sûr que c’est une pom-pom girl que tu veux ou une écolière poussée en graine ?
    — Un mélange des deux serait bien, ma mignonne !
    — Si tu me lâchais, je pourrais aller me changer…
    
    Quelques instants plus tard, je change d’habits dans notre chambre. Je me regarde devant la glace, je suis surprise de constater que ça me va, je m’attendais à être ridicule. Mais je n’ai pas intérêt à sortir vêtue de la sorte ! Ma réputation serait ternie sur dix générations !
    
    Quand je me présente à nouveau devant Ghislain, je constate tout de suite que ma tenue lui plaît énormément. Une seconde plus tard, il me serre contre lui en m’embrassant comme un fou. Quelque chose me dit que le repas du soir attendra un peu !
    
    — Mon Ghighi, je ne savais pas que tu avais un penchant pour les lolitas ! Quoique…
    — C’est quoi, ce quoique ?
    — Je suis tout de même plus jeune que toi, c’est indéniable…
    — Je te rappelle que tu es majeure…
    
    Je lui adresse un grand sourire faussement angélique :
    
    — En France, oui… Pas en Belgique…
    — Peu me chaut, tu es française. Tiens, en parlant de pays, tu sais comment les cheerleaders encouragent les sportifs aux USA ?
    — Aucune idée, mais je sens que tu vas me le dire…
    — Oh, c’est très simple, pas besoin d’avoir pratiqué la danse artistique : elles se trémoussent, les ...
    ... bras en l’air, en scandant des choses comme donnez-moi un G, donnez-moi un H, etc.
    
    J’ouvre de grands yeux étonnés :
    
    — Tu veux dire qu’elles remuent comme des tarées en épelant des lettres ?
    — En simplifiant, oui.
    — Et tu veux que je fasse ce genre de truc ?
    — C’est ton gage d’aujourd’hui.
    
    Je me disais aussi que je m’en tirais à trop bon compte. Je ne comprends pas bien l’intérêt de la chose, mais puisque c’est mon gage, plus vite j’aurais épelé son prénom, plus vite j’en aurais fini ! De ce fait, je lève les bras vers le plafond, je me trémousse, puis m’adressant à mon pervers amant aux idées saugrenues, je lance :
    
    — Donne-moi un G !
    — G !
    
    Amusé, il joue le jeu, je continue sur ma lancée :
    
    — Donne-moi un H !
    — H !
    — Donne-moi un I !
    — I !
    
    Je constate au passage qu’il me regarde avec un air très intéressé. Je comprends très vite pourquoi : ayant les bras en l’air, ma jupe dévoile un peu trop ce qu’elle devrait cacher, et m’agitant dans tous les sens, mes seins ballottent joyeusement allégrement sous mon chemisier !
    
    J’en arrive déjà au second I :
    
    — Redonne-moi un I !
    — I !
    — Et enfin, donne-moi un N !
    — N !
    
    Cette consonne à peine lancée, mon amant se jette sur moi, puis me renversant sur le canapé, il me viole purement et simplement ! Je reconnais que je suis quand même un peu consentante…
    
    Après le canapé, le lit où Ghislain s’est fait un plaisir de continuer à me faire subir les pires outrages, avec une joyeuse vigueur. Nous sommes ...