1. Un petit paquet pour Monsieur


    Datte: 21/05/2023, Catégories: marivaudage, fplusag, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... voyons ! N’empêche que si tu écris quelque chose sur ce sujet, j’aimerais le lire avant que tu ne le partages avec la terre entière.
    — Aucun souci ! Vous aurez la primeur. En contrepartie, je serais preneur d’un peu de documentation afin de mieux cerner mon sujet, et le rendre le plus véridique possible.
    — Des travaux pratiques, en quelque sorte ?
    
    Désinvolte, il s’approche d’un pas :
    
    — Ce que j’adore avec vous, c’est que vous comprenez vite.
    — L’expérience, comme tu disais…
    — Oh oui, l’expérience, j’adore les expériences !
    
    Puis prestement, les mains derrière son dos, il dépose rapidement quelques baisers sur mes seins frémissants. Bien que je puisse facilement le chasser, je le laisse faire. Pourtant, je ne me sens pas l’âme d’une cougar, mais ce jeune-homme me distrait. Et puis, se faire dévorer la poitrine de cette façon, c’est très agréable !
    
    Au bout d’un certain temps, je repousse son front :
    
    — Stop, jeune homme !
    — Dommage !
    — Ne jamais abuser des bonnes choses au début.
    — Au début, dites-vous ? Dois-je espérer une suite ?
    
    Je me contente de lui sourire, évitant de lui répondre. C’est lui qui brise le silence :
    
    —Audaces fortuna juvat !
    — Euh, en clair ?
    — La fortune sourit aux audacieux, dixit Virgile, dans l’Énéïde. Un poète de langue latine du temps d’Auguste, le fils adoptif de Jules César.
    — Tu m’en diras tant !
    — Ah justement, en parlant de Jules César…
    
    Laissant en suspens sa dernière phrase, il s’accroupit soudainement :
    
    —Alea ...
    ... jacta est !
    
    Puis il dépose un énorme baiser sur le bas de mon pubis, accompagné d’un petit coup de langue assez vicieux dans ma fente. Je suis tellement surprise que je ne réagis pas tout de suite. Et quand je me décide, il s’est déjà relevé, et s’est déjà approché de la porte :
    
    — Je fus très heureux de vous avoir apporté ce paquet ! J’espère qu’il y en aura d’autres à vous apporter quand votre mari ne sera pas là !
    — Allez, file, petit canaillou !
    — Vous ne me haïssez point ?
    — Remballe ta littérature pour emballer les jeunes filles en fleur ! Ouste !
    
    Il sourit puis s’en retourne dans sa loge.
    
    À peine cinq minutes plus tard, à peine ai-je mis une robe que j’entends une clé dans la serrure. Oui, ça s’est joué à peu de choses. Peut-être même que mon mari et le gardien se sont croisés dans l’escalier. Qui sait ! Oh purée, j’imagine, si Martin nous avait surpris ! Nerveusement, j’éclate de rire.
    
    Ensuite, j’explique à mon homme ma version des faits, en gommant tout ce qui peut être gênant. Et je pense que Baptiste saura tenir sa langue. Donc, ce petit écart ne prêtera pas à conséquence, sauf si je décide de faire des travaux pratiques avec cet écrivain en herbe.
    
    Un large sourire amusé se dessine sur mon visage :
    
    — Non, en effet…
    
    Il était carrément cramoisi ! Il est vite reparti en balbutiant « Bonne journée ». Et hop, il a disparu dans les escaliers.
    
    — Je commence à comprendre pourquoi tu étais si hilare !
    — Y a de quoi, non ?
    
    Je n’arrive pas à ...
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