1. Un petit paquet pour Monsieur


    Datte: 21/05/2023, Catégories: marivaudage, fplusag, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Pas plus ?
    — Ah, si vous en voulez plus, je suis votre homme !
    
    Je souris ; oui, c’est bien d’un homme de dire ça !
    
    — Commençons par un bisou sur chaque sein.
    — Comme vous voudrez.
    
    Amusant, il a presque réussi à retourner la situation, comme si c’était moi la demandeuse ! J’espère que mon mari ne va pas se pointer maintenant. En parlant de ça, il n’est pas très intelligent de rester sur le palier !
    
    — En attendant, il vaut mieux que tu rentres, car si on nous surprend ainsi, toi et moi ne sommes pas clairs, et ça jasera dans tout l’immeuble ! C’est un coup à perdre ta place.
    — Oui, vous avez parfaitement raison !
    
    Je le fais rentrer au bord du salon, puis j’annonce la couleur :
    
    — Avant, je vais aller cherche un peignoir.
    — Ah non, faites pas ça ! Vous êtes si belle toute nue !
    — Et si mon mari se pointe, tu lui expliques quoi ?
    — Ah oui… on sent l’expérience !
    
    Je le fusille du regard :
    
    — L’expérience ? Tu insinues quoi ?
    — Dans une situation inédite, vous savez rapidement vous adapter et prendre des initiatives. Je ne faisais pas allusion à autre chose…
    
    Je décide de le croire. Puis suivi par son regard brûlant rivé sur mes fesses, je pars dans la salle de bain pour revenir avec un peignoir en main que je pose sur une chaise du salon. Ceci fait, je me plante devant lui :
    
    — Allez, fais-les, tes deux bisous !
    — Avec plaisir !
    
    S’abaissant un peu, il dépose un premier baiser sous mon sein, pour bien ressentir son poids sur ses lèvres. Puis ...
    ... pour le second, il capture carrément mon téton dans un long baiser mouillé. Vu son manque d’hésitation, on dirait bien que Baptiste s’y connaît un peu…
    
    Respectueux de ce qu’il avait annoncé, il recule d’un pas, tout profitant pour me mater encore plus. Je vois bien qu’il voudrait plus, mais serait-ce raisonnable. Il prend à nouveau la parole :
    
    — Vous avez des seins délicieux, j’adorerais les couvrir de baisers. Ah, vous me faites regretter de ne pas avoir osé vous en demander plus !
    — Plus ? C’est-à-dire ?
    — Comme des baisers sur vos fesses et aussi sur votre pubis.
    
    Amusée, je hoche la tête :
    
    — Tu es bien un homme, Baptiste ! On te donne un doigt, tu veux le bras !
    — Permettez-moi de vous contredire : dans votre cas, je voudrais volontiers tout votre corps !
    — Tu es trop gourmand, mon petit.
    — Oui, sans doute. Sans oublier que votre mari peut revenir à tout moment.
    — Tu l’as dit !
    
    Il pivote sur ses talons, et s’éloigne à regret. Puis soudain, il se retourne :
    
    — Me permettrez-vous néanmoins un dernier hommage ?
    — Tu as fait quel genre d’études, Baptiste ?
    — Littéraire, pourquoi ?
    
    Je me disais aussi. Je réponds :
    
    — Ça se sent… est-ce que tu écris ? Des nouvelles, des romans…
    — Ça m’arrive… D’ailleurs, je sens que je vais derechef imaginer une nouvelle histoire qui se passe dans un immeuble cossu, entre une splendide femme mature et un jeune gardien en admiration devant ses appas !
    
    Il ne doute de rien, ce petit ! Égayée, je souris :
    
    — Bien ...
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