Sa belle-mère en manque est prête à tout (3) - Histoires de Sexe

Sa belle-mère en manque est prête à tout (3)

... crues qu’ils venaient d’échanger l’excitaient également.

C’est à cause de cette excitation qu’elle ne se rendit pas compte immédiatement de la destination de sa bouche. Suivant les instructions d’Antonin, elle déplaça sa bouche pour embrasser le bas de ses pectoraux, puis son ventre. Pour que sa bouche accède à ces parties, elle dut déplacer son corps, ce qui libéra le sexe d’Antonin d’entre ses seins. Son pénis se logea alors entre la poitrine et le visage d’Aurélie.

C’est en sentant le sexe d’Antonin lui toucher le bas du visage qu’elle comprit son objectif. A ce moment, malgré son début d’excitation, elle se mit à paniquer. Elle n’avait jamais utilisé sa bouche sur le sexe de son mari ou même de ses précédents partenaires. Malgré ses besoins sexuels importants, elle était en réalité assez prude. Ses expériences sexuelles se résumaient à faire l’amour ou à masturber un partenaire.

En réfléchissant quelques secondes, elle se rendit compte qu’elle avait déjà fait avec Antonin bien plus qu’elle n’avait fait par le passé. Elle n’avait jamais parlé de « cul » ouvertement comme Antonin faisait avec elle. On ne lui avait jamais joui sur le visage. Et elle n’avait jamais touché un pénis avec sa bouche.

Elle continua donc ses baisers, mais s’arrêta de descendre une fois le bas du ventre atteint. La sentant ne pas descendre plus loin, Antonin sut qu’il y avait ici une barrière à franchir. Il comptait réaliser ses fantasmes, mais il ne voulait pas qu’elle se brusque d’un ...

... coup au point de tout, alors il l’encouragea :

— Tu me fais tellement du bien avec ta bouche, ton corps pressé contre le mien est si excitant.

Ces paroles excitaient Aurélie, et elle accentua ses baisers, sans toutefois descendre. Elle se disait que finalement, il ne lui demanderait rien de plus, quand il ajouta :

— Descends encore un peu, j’y suis presque, encore quelques baisers ...

Le sachant proche de l’orgasme, elle se dit qu’elle pourrait l’aider un peu en allant plus bas, surtout que ce ne serait que l’affaire de quelques instants. Alors elle descendit sa bouche jusqu’à la base du sexe d’Antonin, et embrassa toute la zone autour de son sexe, sans jamais le toucher vraiment. Celui-ci voulait cependant qu’elle le fasse, alors il continua son jeu pour l’amadouer :

— Oh oui c’est si bon, tu es tellement bonne ... Je n’ai quasiment jamais été aussi excité avec mes anciennes copines, tu es trop sexy.

Aurélie fut surprise de cette parole. Elle se sentit pousser des ailes, fière d’être au niveau des filles de 10 ans de moins qu’elle. Mais, d’un naturel jalouse, elle ne put s’empêcher de remarquer le terme sur lequel qu’il avait volontairement accentué :

— Quasiment, seulement ?

— Ah oui ... j’ai connu une fille qui utilisait sa bouche de façon tellement parfaite ...

— Comment ça ? répondit au tac au tac Aurélie, piquée au vif de jalousie.

— Disons qu’elle ne se contentait pas d’embrasser seulement mon ventre.

Antonin menait son jeu parfaitement, ...