Sa belle-mère en manque est prête à tout (3) - Histoires de Sexe

Sa belle-mère en manque est prête à tout (3)

... voulait qu’elle le dise clairement :

— Oui ? commença Antonin.

— C’est pour ... tu sais comme hier soir.

— C’est-à-dire ?

— J’ai envie de sexe, fais-moi jouir s’il te plaît.

Elle n’avait pas hésité cette fois-ci, nota-t-il. Elle devenait de plus en plus encline à parler de sexe, c’est parfait.

— Déshabille-toi, mais reste en sous-vêtements.

— OK, répondit-elle en s’exécutant.

Elle avait deux pièces de lingerie correspondante, pas les plus sexy de sa garde-robe, mais acceptables selon elle. Antonin s’assit sur son lit, avant de demander :

— Viens t’asseoir sur moi.

Aurélie s’assit sur le bout de ses genoux, les jambes serrées, sans trop savoir ce qu’il voulait. Il la tira à lui, pour que ses fesses soient directement au contact de son sexe à travers son vêtement. Il était en pyjama léger, donc il n’y avait qu’un maigre bout de tissu souple entre son sexe et le cul de sa belle-mère. Celle-ci sentit le sexe dur de son fils et se mit à rougir par réflexe, mais étant dos à lui, il ne vit pas sa réaction. Antonin continua ses demandes :

— Maintenant, caresse-moi le sexe avec ton cul.

Elle sursauta à l’écoute d’une telle demande, ce n’était pas dans ses habitudes de faire ce genre de choses. Cependant, elle commença à bouger ses fesses. Elle ressentit à chaque mouvement le sexe de son beau-fils entre ses fesses, qui frottait contre sa culotte.

— Oui comme ça, continue.

Elle continua alors, et se rendit compte qu’à chaque mouvement, ...

... c’était elle qui devenait de plus en plus excitée. En effet, le bout du sexe de son beau-fils touchait le devant de sa culotte, vers l’entrée de son sexe. Elle mouillait de plus en plus, et accélérait instinctivement son mouvement de fesses, d’abord de bas en haut le long du sexe d’Antonin, puis avec des mouvements circulaires.

— Je vois que tu aimes ça hein ? demanda Antonin d’une voix malicieuse.

— Oui ça m’excite ... J’aime sentir ta bite durcir sous mes fesses, continua Aurélie, se rappelant qu’il aimait qu’elle parle crûment.

N’étant pas face à lui, elle avait en quelque sorte moins honte et se libérait. Antonin sentit aussi ce changement, et pour l’encourager, il plaça une de ses mains sur le ventre d’Aurélie, et descendit doucement sa main. Elle frissonna à ce contact, et sentit qu’elle devait continuer pour avoir satisfaction :

— J’aime ta bite Antonin, tellement dure, elle glisse si bien sur mon cul.

— Tu aimerais que j’enlève mon short pour que tu sentes mieux ma bite ? continua-t-il, en descendant toujours doucement sa main, jusqu’à s’arrêter à la lisière de la culotte.

— Oui oui enlève-le, s’empressa de répondra Aurélie, en sentant cette main si proche de son sexe.

— Enlève-le-moi alors.

Elle releva doucement ses fesses, et dirigea ses mains de chaque côté du short d’Antonin avant de le tirer vers le bas. Le sexe d’Antonin jaillit alors, et tapa d’un coup sec entre les fesses d’Aurélie en se libérant. Elle poussa un cri de surprise et de ...