Sa belle-mère en manque est prête à tout (3) - Histoires de Sexe

Sa belle-mère en manque est prête à tout (3)

... plaisir.

— Et maintenant ? reprit-elle, en équilibre au-dessus d’Antonin, son sexe pointé sur sa culotte.

— Reprends tes caresses.

Elle s’empressa alors de saisir le sexe d’Antonin, pour le positionner à peu près allongé, afin de reprendre ses caresses entre ses fesses. Quant à lui, il reprit la course de sa propre main vers le sexe d’Aurélie, sous sa culotte cette fois.

Il toucha alors le point le plus sensible du corps d’Aurélie, son clitoris. Au contact, elle arrêta tout mouvement et poussa un long gémissement. Il n’avait pas touché son clitoris hier, et donc personne ne l’avait fait depuis « longtemps ». Il commença alors à caresser doucement.

Après quelques secondes, il fit basculer Aurélie sur le lit, son dos contre le lit. Il défit son soutien-gorge et lui retira sa culotte. Il replaça sa première main sur le clitoris, et sa seconde sur un des seins ainsi exposés. Il ajouta également sa bouche à l’œuvre, en embrassant le second sein doucement. Antonin voulait faire jouir Aurélie rapidement cette fois, afin qu’elle soit complètement disposée pour son propre plaisir ensuite. Il ne la fit pas languir, mais au contraire, accéléra ses mouvements sur son clitoris, intensifia ses caresses sur un sein, et titilla de sa langue le téton de l’autre sein.

Aurélie était aux anges, elle se laissait faire complètement, deux mains et une bouche la satisfaisaient. Elle gémissait de plus en plus, son plaisir était trop grand. Puis soudainement, elle se libéra, gémit ...

... d’une voix encore plus forte qu’avant, en arquant son corps de plaisir.

Antonin la laissa respirer, et s’allongea à côté d’elle. Quand elle fut remise, il la taquina :

— Eh bien, tu as joui vite cette fois, tu es vraiment en manque.

— Désolé ... c’était trop bon.

— Et moi dans tout ça ?

Elle se rendit compte qu’il n’avait pas joui, alors elle demanda :

— Tu... tu veux que je te finisse ?

— Evidemment. Mais pour commencer, embrasse-moi le cou.

Culpabilisant légèrement de ne pas avoir satisfait Antonin, elle accéda à sa requête, d’autant plus que cela semblait assez simple à satisfaire. Alors elle se releva sur un coude, en se plaçant de côté. Dans cette position, ses seins s’écrasaient sur le ventre d’Antonin. Elle posa alors un baiser sur son cou, comme demandé.

— Encore, et avec ta langue.

Alors, elle posa à nouveau sa bouche sur le cou d’Antonin, en y posant des baisers plus langoureux, sa langue léchant légèrement son cou à chaque baiser. Antonin ne disant rien, elle prit ça pour une approbation et continua ses baisers. De son côté, celui-ci posa sa main du côté d’Aurélie sur le dos de celle-ci, en caressant gentiment pour apprécier la douceur de ce corps. Il ajouta alors :

— Continue en descendant ta bouche.

Elle poursuivit donc ses baisers sur le bas du cou, puis le haut du torse de son beau-fils. Elle sentit ses pectoraux musclés sous sa bouche.

Antonin saisit alors sa belle-mère pour la placer complètement au-dessus de lui, son ...