COLLECTION COCU. La pêche au carrelet (1/2)
Datte: 19/05/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... magnifiquement le cuivre de sa peau.
Car non contente de bronzer deux mois ici elle se rend tous les mercredis après-midi dans un institut de beauté faire des UV.
Agenouillé à ses pieds, un photographe de plage qui photographie les gens et qui a un patron qui tient un kiosque sur la place à Saint-Palais où l’on peut voir les photos et les acheter
Ils discutent ensemble.
Je suis intrigué, car je connais ce type d’individu beau parleur et dragueur qu’elle chasse chaque fois que je suis avec elle.
Elle fait un geste qui me paraît étrange, au lieu de prendre le ticket qu’il lui tend elle prend son sac de plage, sort un stylo qu’elle lui propose.
Il écrit avant de lui redonner.
Je la vois le range dans son portefeuille, je peux voir du rose certainement dans son permis de conduire.
Incroyable, discrètement je le vois se met la main devant sa bouche comme s’il lui envoyait un baiser et la poser sur ses lèvres.
Je retourne à ma voiture, je pars pour Royan comme de rien.
- Bonsoir, Gisèle, ça sent bon, tu m’as cuisiné le bar péché hier.
- Oui, mon chéri, mais aujourd’hui ou sont les crevettes que nous devions manger en entrée.
- J’ai déchiré mon filet, je suis allé à Royan, tu sais je t’en avais parlé.
Je le remonterai demain et je pourrais ravauder l’autre tranquillement, je sais que c’est un gros investissement, mais tu sais comme j’aime le carrelet de ton papa.
J’aime jouer de la corde sensible avec ma femme qui vient m’embrasser me ...
... montrant que ma dépense est pardonnée.
- Es-tu passé par ici en partant pour Royan ?
- Non, je voulais arriver avant la fermeture et j’en reviens, il est dans le coffre de la voiture.
Elle est toujours en maillot et je passe derrière elle.
Je fais sauter la lanière de son soutien-gorge.
Je l’entoure de mes bras une main sur ses seins l’autre s’insinuant dans son mini-slip.
- Pas maintenant, Sylvain, le poisson va être cuit et il faut que je prépare des tomates puisque les crevettes sont toujours au fond de la mer.
Je suis frustré, car il y a quelques années, c’est souvent que je la prenais sur la table de cuisson en lui posant les fesses dessus.
Dans ces moments-là, elle se laissait pilonner donnant elle-même des coups de cul en avant pour que ma pine de grosseur normale entre le plus profondément en elle.
Madame la maîtresse des écoles, dans ces moments-là, vous aviez un langage peu châtié.
« Les baise-moi mon salaud » résonnait dans cette cuisine.
Or, je dois reconnaître que depuis quelques mois quand j’arrive à te faire l’amour seulement dans notre chambre, tu as des petits cris qui sont loin de ces envolées lyriques.
Nous mangeons et nous nous couchons.
Un point que je remarque alors que là encore j’ai été aveugle quand son corps nu malgré la chaleur se trouve recouvert de son pyjama tue l’amour.
- Sylvain, non, pas ce soir, je suis fatiguée.
J’ai une nouvelle fois passé ma main sur sa chatte alors qu’elle me tourne le dos et je ...