1. Poker


    Datte: 18/05/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySalomeD, Source: Literotica

    ... sont claquées, mordues. Mes seins massacrés par des doigts brutaux. Tous se sont vidés dans ma bouche, mon sexe, mon anus. Mes orifices du bas dégorgent d'une quantité incroyable de sperme. De sang aussi. Je suis déchirée, fissurée.
    
    Je pense qu'ils en ont fini, mais un des hommes me prend pour m'emmener sur le canapé. « Ce sera plus confortable » a-t-il dit en me couchant sur le dos. De suite après, il me pénètre, me violant de nouveau, une seule éjaculation ne suffit donc pas? Il m'écrase de tout son poids, je suis étouffée et effacée. J'ai la tête sur son torse, et je hurle. Encore plus fort que la première fois, car mon sexe maintes fois déchirés me fait encore plus mal.
    
    Je peux savoir la taille des cinq hommes, rien qu'à la position qu'a ma tête sur leur torse, quand ils sont tous passé sur moi. Une fois sur la poitrine velue, une fois sur le ventre, une fois dans le cou...
    
    Mes jambes restent ouvertes pour eux. Parfois, je suis soulevée un peu plus pour être enculée. Là c'est encore pire, les fissures sont vraiment nombreuses, la douleur me fait hurler à la mort. Ma gorge me brûle atrocement. Je ne suis plus que douleur.
    
    Ils m'assassinent de leurs bites. Ils ne savent donc pas que pour une femme, vierge de surcroît, un viol est encore pire que la mort? Il s'imagine quoi? Que comme dans ces histoires érotiques, ou dans les films X, je vais prendre du plaisir? Que je vais en redemander? Non, c'est un viol, on ne prend aucun plaisir dans un viol, jamais, sauf ...
    ... dans le fantasme des hommes, pour se donner bonne conscience. Mais le viol c'est juste un meurtre, avec une bite à la place d'une arme. On ne s'en relève jamais!
    
    J'ai quand même pu tourner la tête pour voir mon père. Il est recroquevillé dans un coin sombre de la pièce, pleurant, se cachant le visage, ne voulant pas voir ce qui m'arrive.
    
    Il laisse faire...
    
    A un certain moment, je me retrouve sur le ventre d'un des hommes, empalée, hurlant ma douleur. Il me serre contre lui, me baisant sauvagement. Quand un autre vient derrière, ouvrant mes fesses.
    
    Je veux m'évanouir quand il m'encule, mais je reste bien éveillée, à supporter deux grosses queues dans mon corps encore vierge juste avant. Une autre queue vient me faire taire en s'enfonçant dans ma bouche, au fond de ma gorge, me faisant vomir en même temps qu'il torture ma bouche. M'obligeant à tout ravaler, tant le sexe violeur fait comme un bouchon totalement hermétique.
    
    Mon agression continue, des heures durant. Ils jouissent sur mon visage, me mordent les seins, l'un d'eux saigne. Ils me pissent dessus, me font boire leurs urine. Ils me torturent, et ils aiment ça. Des clopes me brûle la poitrine, le ventre, l'entre-cuisse. Je ne suis plus qu'un pantin, je ne peux plus hurler, je peux juste subir. Je suis une esclave, leurs esclave.
    
    Tout s'arrête vers neuf heures du matin. Ils se sont arrêtés, laissant mon corps remplis de sperme, de sang, usé et brûlant, les orifices grands ouverts. Je crois que mon anus ne ...