Poker
Datte: 18/05/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySalomeD, Source: Literotica
... soutien-gorge de sport et une longue robe de nuit légère. D'habitude je ne mets jamais de soutien-gorge, mais les amis de mon père, je les connais quand ils sont alcoolisé avec leurs remarques graveleuses. Mais même si eux, c'est des nouveaux, rien ne change. Hélas, je peux sentir leurs yeux, lorgnant sur mon corps de femme-enfant. Sur mes seins surtout, sur mes fesses.
À un moment, l'un des gars à effleuré mes seins avec son bras.
Alors que la soirée avance, l'alcool aidant, leurs regard est de plus en plus évident.
Vers minuit, je me suis endormie dans la pièce à côté, qui sert de petite salle télé, sur le canapé. Mon père a déjà perdu beaucoup d'argent. Il n'a plus assez pour rembourser.
Et quand on doit de l'argent, il n'y a plus de « copains ».
Tout le monde a beaucoup trop bu. Les cinq potes sont en colère, ils veulent être immédiatement payés. Je me suis réveillée car ils crient tous, et j'entends « rends-nous notre argent. ».
J'ai vu un des hommes frapper mon père. « Paie-nous, ou trouve un autre moyen de nous payer!! » a dit un des hommes, le plus virulent, le meneur.
Je me suis levée d'un bond, je suis allez dans la salle où ils jouent. Je me mets près de mon père, car il est au sol, se tenant le visage avec le nez en sang. Je sens alors qu'ils me regardent tous. Il n'y a plus un bruit. Mon père m'a regardé.
Il y a du désespoir dans ses yeux, il semble résigné. « Je ne peux pas payer » dit-il en regardant les cinq hommes.
Les autres ont ...
... pris cela comme un signe. Ils se tournent tous vers moi. Je n'ai pas compris tout de suite ce qu'il se passe...
Avant que je réfléchisse, ils sont sur moi. Il y a une avalanche de bras et de mains qui me saisissent. Je suis minuscule, à côté d'eux. Ils me soulèvent dans les airs, ils arrachent ma robe de nuit et mon soutien-gorge. Je crie, je me débats mais ils sont trop forts, trop nombreux...
Je vois leurs yeux sur mes seins, pas très gros mais qui leurs conviennent parfaitement. Je cache mon corps comme je peux, et ça les fait rire. Ils me dévorent tous des yeux. Ils grognent, comme des animaux. On me palpent, on tirent, on pincent, on mords mes seins, je pleure, je supplie, en vain...
Je sens qu'on attrape mes cheveux, violemment, je suis attirée et tirée vers une entrejambe, où je vois une énorme queue bondir, pour violemment entrer dans ma bouche tandis que l'homme contrôle ma tête comme une marionnette. Je n'ai fais cela que deux fois, avec mon ex-copain. Le goût du pénis dans ma bouche est infect, dégueulasse.
Je suce sans réfléchir, tout va si vite, trop vite. La grosse queue dilate douloureusement ma bouche, je pense que mes lèvres vont se déchirer. Je crie, ma le sexe de mon agresseur fait office de bâillon.
D'autres mains écartent mes jambes. Des doigts caressent mon anus et ma chatte. Je sens que l'on écartent mon sexe, j'entends :
- La conne elle est vierge! Ben pour une première elle va voir passer cinq belle queue pour elle, la chanceuse!
La ...