Le chantier de l'adultère (1)
Datte: 18/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pornstarbi, Source: Xstory
... surtout moi. Une fois dans le hall, ma femme Danielle me redemande pourquoi le superbe escalier en chêne qu’elle a fait construire sur mesure n’est pas encore installé. Je lui explique qu’il faut au maximum limiter l’exposition de ce genre de pièces coûteuses pour limiter les éventuels dégâts. Ce qui explique la pauvre échelle qui trône là, positionnée pour accéder à l’étage, où on entend le plombier travailler.
Je sens ma femme anormalement excitée. Le chantier, me confie-t-elle, sa main agrippant avidement mes couilles, de savoir qu’il y a tous ces mecs-là autour d’elle, de nous, l’excite énormément. Aussi elle m’attire sous l’échelle, alors que le plombier sifflote, et que des coups de burins nous parviennent de l’autre côté du mur, et me met à genoux. Surprise, elle n’a pas de culotte, la dévergondée. J’arrache son collant pour y faire une ouverture, tombant nez à nez avec son sexe déjà trempé d’excitation, d’attente que je bouffe son intimité. Même si je ne bande pas, de sentir ma femme si désireuse de ma langue me procure la première joie de la journée. Aussi je déguste sa chatte avec beaucoup d’appétit, lui palpant le cul alors que mon visage est rapidement souillé par sa cyprine. Elle râle, gémit, et ce con de plombier qui se ramène. Dans l’urgence, on se rhabille, ivre d’humour d’être passé à quelques secondes de se faire choper. Danielle m’embrasse, empoignant mes joues.
Un vrai baiser de reconnaissance.
Encore en train de ricaner, ma femme Danielle ...
... interpelle le plombier, lui signalant notre présence, et lui demandant de nous faire visiter le chantier de l’étage. Le plombier arrive dans l’encadrement du premier étage, et a le malheur de nous dire qu’un des deux lavabos présente un défaut, minime, à l’arrière, qui sera invisible une fois installé. Seulement, nous sommes perfectionnistes, et nous voulons voir ce défaut "minime". Le plombier ne semble pas prêt à coopérer, aussi nous sentons l’arnaque. Il nous conseille de ne pas monter, de peur que nous tombions.
— Surtout vous monsieur, avec votre bras dans le plâtre.
Qu’il m’énerve ! Ma femme prend les devants, elle monte.
Les deux ouvriers, entendant les voix monter, nous ont rejoints, et demandent au plombier, leur collègue, si tout va bien. Il les rassure, mais alors que ma femme commence à monter, je vois sa mine faussement inquiète. Il doit la prendre pour une cruche, la juger avec sa tenue de minette bimbo, se dire qu’elle va forcément se rétamer. Je lui glisse à l’oreille que monter, habillée avec sa jupe, n’est pas très judicieux, puisqu’il y a du public.
— Et quoi ? On le laisse nous installer des lavabos pourris ? Tant pis si les deux jeunes derrières matent, c’est toi mon homme, ne t’en fais pas, ne sois pas jaloux pour si peu.
Je capitule. Je vois que ma femme est encore tout excitée, et que ce petit jeu, de savoir que les deux gars vont reluquer son entrejambe, l’excite, et l’empêche de raisonner convenablement.
Un des jeunes carreleurs, le ...