1. Le chantier de l'adultère (1)


    Datte: 18/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pornstarbi, Source: Xstory

    ... léger pliage de genoux, on apercevait non sans mal ses deux fesses rondes, à la chair ferme et abondante. Autant dire que quand elle marchait là, dans ces couloirs, le cuir de sa jupe avait du mal à contenir ce fessier béni, divinement musclé, sublimé par un son galbe arrondi. Bref, un sacré cul ! Une jupe donc, dans laquelle rentrait un chemisier blanc à la transparence presque vulgaire, sous un perfecto très sexy. En dessous, ses adorables seins, une , bien ronds, aux tétons durs et fiers. Aux jambes, venant magnifier ses puissantes cuisses, lisses, douces, au teint hâlé parfait, un pair de bas Dim Up, et des souliers rouges à talons aiguilles. Une sacrée bombe. Une allumeuse. Ma femme.
    
    Celle qui chaque matin, venait s’abreuver à ma bite. Une femme de caractère. 54 ans, une véritable MILF. Un petit mètre 60, dont les talons à aiguilles lui donnaient de l’assurance, et la faisaient arriver au niveau des femmes de mes collègues, toutes hautes d’un mètre 65. Cheveux courts, ondulés, avec du volume, d’un roux sombre, électrisant le regard, aux délicieux yeux noisette. Un véritable bonbon que cette Danielle. Avec son bon fessier, ses hanches taille 42 faites pour être maintenues fermement. L’archétype de la femme, selon mes critères.
    
    Quoi qu’il en soit, nous avions terminé les radios rapidement, et étant donné que le docteur nous avait pris en avance, nous avions pas mal de temps libre. Aussi décidions-nous d’aller visiter, par surprise, le chantier de notre nouvelle ...
    ... maison. Le plombier, que je n’aimais guère - j’étais sûr que c’était un vrai magouilleur - devait cette semaine terminer la salle de bains à l’étage. Mais il prenait son temps le bougre. Ca m’irritait. Notre visite au chantier était donc indispensable, mais je n’en avais guère envie, vu mon irritabilité.
    
    Durant le trajet, ma femme Danielle arrive à allier conduite sportive et massage de nuque pour essayer de me détendre. Sa main glisse même vers mon entrejambe, mais là encore, rien à en tirer. Je sens qu’elle aurait adoré recevoir sa collation là, au bord de la route. Dommage.
    
    Une fois arrivés, c’est tout un parcours du combattant. Malgré le mois de septembre somptueux, il a plu toute la nuit. Le chemin n’est que boue et gadoue. Ma femme galère avec ses talons. Un ouvrier le remarque et accourt pour lui porter secours, une paire de bottes à la main. Comme si je ne le voyais pas venir celui-là, avec son beau bronzage à jouer les sauveurs de talons aiguille ! Moi évidemment avec mon attelle, impossible de porter ma femme comme un gentleman. Je subis. Danielle remercie chaleureusement son sauveur, un jeune français, d’origine maghrébine, tout sec, mais tout en muscle et en sourire pour Danielle. Rapidement, nous arrivons au seuil de la maison, où un autre jeune - les deux gars se ressemblent, on dirait deux frères - travaille. La pose du carrelage du salon, me dit-il.
    
    Nous les laissons à leur tâche, entrons dans le salon, car c’est le plombier que nous voulons voir. Enfin ...
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