1. Adoption


    Datte: 17/05/2023, Catégories: fff, gymnastiqu, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, caresses, Oral fgode, fdanus, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sinon tu recevras des gouttes partout.
    
    Kristel s’efforce de maîtriser ses muscles vaginaux, mais quand une coulée de liquide brûlant atteint sa chair elle jappe et sursaute si violemment que nous manquons la lâcher. Cri de surprise plus que de douleur, car l’humidité de la vulve fige presque instantanément la cire. Mais ses mouvements brutaux ont eu la conséquence que craignait Michèle. Les gouttes chaudes s’égarent sur le pubis, les aines, l’anus, le clitoris… Moins humectées, ces zones sensibles gardent plus longtemps les empreintes ardentes. Kristel gémit continûment. Ses forces la trahissent, sans notre prise ferme elle s’effondrerait. Bonne âme, Alexandra retient la bougie à la verticale.
    
    La cire coule depuis une bonne minute. Une gangue de cire enserre peu à peu les nymphes. La flaque s’étend en coulées successives, comme un ruisseau qui cherche sa voie. La cire chaude la trouve ici dans le repli des lèvres, là sur le périnée, dérive parfois sur des muqueuses plus sensibles, au creux de la fente ou sur le bouton turgescent…
    
    Kristel retient ses plaintes. Par moments, ses lèvres veulent prononcer le mot libérateur, mais elles n’achèvent pas. Nous sommes subjuguées par la volonté de cette novice. Michèle pleure sans bruit en continuant de cajoler sa motte. Les yeux humides nous aussi, nous l’incitons à tenir par de petits mots d’amitié.
    
    — Tu es très courageuse, ma chérie…
    — Tu es bien plus forte que moi, ma puce !
    — Brave petite, et c’est sa première fois ...
    ... !
    — Ah oui, bravo ma grande !
    — Ma douce, arrête si c’est trop dur…
    — Oh oui, tu peux, va ! Arrête, je t’en prie…
    
    Elle n’écoute pas, elle veut aller jusqu’au bout. Elle ouvre de grands yeux, visage figé, bouche haletante. Sa poitrine bat la chamade, son ventre se crispe par saccades, ses cuisses se tétanisent. La cire coule inexorablement, élargissant son emprise. Je regarde Alexandra, il faut retirer cette bougie. Soudain, un petit geyser gicle sous la flaque. Un éclair d’affolement traverse le regard de Kristel. Un nouveau flux déborde de la cire, glisse dans la raie, inonde la touffe courte. Kristel se contracte, expulse la bougie et s’abandonne brusquement, toute molle entre nos mains.
    
    — Ah ! Ah ! Ah hou ! Houuu ! Hoouuu ! Oooooooooooooooooooooh !
    
    Alexandra rattrape la bougie au vol. J’aide Michèle à déposer doucement Kristel au pied du cheval d’arçon. Elle se recroqueville en chien de fusil, une main entre les cuisses, dans les bras de Michèle, la figure contre sa poitrine, son petit corps encore agité de soubresauts. Je me penche sur elles, aussi inquiète que Michèle qui lui caresse les cheveux et l’embrasse pour la réconforter.
    
    — Là, c’est fini mon petit cœur, c’est fini mon amour, pleure mon trésor, laisse-toi aller, ça va passer, détends-toi, laisse-moi voir ta chatoune ma petite chérie…
    
    J’enlace les deux amoureuses, bientôt rejointe par Alexandra et nos autres compagnes. Nous attendons, un peu anxieuses nous aussi, que les derniers spasmes se calment ...
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