Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (6)
Datte: 17/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... double (une expérience que j’ai vécue avec Théo il y a peu).
— Oh oui mes chéris en double, en triple.
— Théo d’ajouter : Alors John écoute ! allonge-toi sur le dos, toi ma Salope à cheval, tu t’emmanches sur sa queue et moi je te prends en levrette.
— Vas-y doucement mon Chéri, John est bien membré, tu sais et toi n’en parlons pas !
Ainsi fait mais surprise, Joyce se met ma queue dans son cul ! Ce qu’elle veut, la femelle, c’est une double anale, je ne peux y croire.
Sans plus tarder, Joyce est couchée sur ma poitrine, le bassin relevé, Polo lui met une bonne dose de vaseline sur l’anus et ma tige (il y a 40 ans, c’était le lubrifiant, ça ou le beurre) il glisse un, deux, puis trois doigts entourant ma queue. Il la pénètre doucement, élargit progressivement le trou du cul en prenant son temps. Joyce et moi, immobiles, le laissons faire. Satisfait du résultat, il se place derrière sa femme, appuie son gland sur ma tige et doucement pousse sans résultat. Il la doigte à nouveau, à présent avec quatre doigts toujours autour de ma queue, juste les premières phalanges sont entrées et il pousse les secondes. Avec le temps et la persévérance, le trou s’élargit puis s’ouvre.
Il reprend sa place, le gland glisse, comprime ma queue, se fait une place, le trou est vaincu, les deux bites s’accolent, l’espace est plus étroit que pour la double vaginale (voir « Partie carrée »). Les chairs s’habituent les unes aux autres, le rectum s’élargit, Polo commence à bouger ...
... librement, il a pris sa femme par les hanches et fixe le rythme à nos verges qui restent accouplées pendant qu’on la besogne. Elle se redresse, s’appuie sur ma poitrine, cambre les reins presque à 90 degrés et s’offre immobile à nous deux. C’est par mon jeu de bassin que je la pénètre alors que Polo y va «hardi petit», mes mains malaxent la poitrine opulente, triturent les tétons, de véritables mamelles bien pleines qui se ballottent sous nos coups de boutoir.
Martine n’en perd pas une miette, admirative de l’union de son père et sa mère. Elle est excitée et chaude. Elle veut participer à notre accouplement, elle me demande, allongé comme je suis, de relever les bras au-dessus de ma tête et se met en levrette pour que je la suce et offrir son cul à la lèche de sa mère.
Tous se coordonnent dans ce quatuor monstrueux. Mes mains, après avoir massé les seins de la mère, massent ceux de la fille.
Alors que je suce et pelote la fille, j’encule la mère avec son mari, Joyce prise en double s’appuie sur les fesses de sa fille, elle l’embrasse au creux des reins et joue avec moi une variation à quatre mains sur son cul.
Les gémissements, les râles de jouissance se mêlent, comme nos corps. Une bacchanale inimaginable !
Martine m’abreuve de sa cyprine, la danse de Joyce et Polo me masturbe. Je ne contrôle plus rien, je me vide les couilles, mais tous continuent leur danse infernale, ma bite ramollie reste en place jusqu’à ce que Polo se vide également, alors les quatre corps se ...