Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (6)
Datte: 17/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... part et d’autre sur ses cuisses comme pour former les ailes d’un grand papillon de nuit et découvre ses petites lèvres oblongues qui virent du violet au rosé à l’entrée du vagin.
Je la rejoins sur le lit, elle prend mon sexe et le tire à sa bouche, je l’accompagne en la chevauchant en 69. Avec autorité, elle me dit :
— Bouffe-moi la chatte et défonce-moi !
Puis silence. Polie, elle ne parle pas la bouche pleine, seuls les bruits de succion et de gorge rompent ce silence. Moi, je lui suce le clito, une vraie petite bite, son bouton presque naturellement décalotté est comme une petite fraise des bois bien mûre, mes dents le saisissent à la base et ma langue le titille comme un gland. Trois doigts glissent au fond de sa caverne qui paraît immense, un quatrième la pénètre jusqu’à la jonction du pouce pour taquiner le col de l’utérus, le majeur se place sur la pointe, sur son ouverture semblable au méat de Polo !
Ce toucher l’excite, son bassin se met en mouvement, son vagin s’inonde, je ressors les quatre doigts, place mon pouce dans la paume et plonge dans ce trou béant. La main s’enfonce, je masse le cône du col de l’utérus gros et pointu. Là encore, je pense au gland de Polo. Mon massage pousse Joyce à crier sa jouissance :
— OuiIIIIIIII comme ça, branle-moi fort !
Je fais aller et venir ma main, le poing fermé, mon bras est devenu pénis, mon poing gland, pour baiser cette femelle en chaleur. Elle a cessé de me sucer pour couiner, elle s’appuie sur les ...
... pieds pour relever haut le bassin :
— John encule-moi, défonce-moi !!!
— Alors, à quatre pattes comme une chienne, salope, que je te bourre le cul !
— Non ! en missionnaire. Tu m’encules et ensuite tu me doigtes le vagin.
Assis sur mes talons entre ses jambes, elle place son bassin sur mes genoux, mon gland couvert de sa salive se positionne presque naturellement sur l’anus, je me relève un peu et d’un coup l’encule, une jambe sur mon épaule, l’autre repliée sur le lit, elle m’offre sa vulve largement ouverte dans laquelle ma main retrouve sa place, je me caresse la bite au travers de la fine paroi rectale puis main et verge s’activent en harmonie. Je suis effaré de voir comme elle est chaude et ouverte dès le début d’après-midi. Droit debout sur mes genoux, je la baise et l’encule simultanément. Elle continue à gémir, ce qui alerte l’environnement, d’autant plus que la baie vitrée qui donne sur le jardin est restée ouverte.
— Oui ! vas-y, plus fort.! Encule-moi, plus fort !
Dans le miroir de la tête de lit, je vois à l’entrée de la chambre Martine et son père, c’est une véritable réunion de famille à laquelle je suis invité, Polo dit :
— Ma chérie, allons donner un coup de main à ce pauvre John avant que ta mère ne l’épuise... Ça va vous deux, on peut vous aider ? et Joyce de répondre :
— Il se débrouille très bien, mais plus on est, mieux c’est !
Le mari commence à embrasser et caresser la poitrine de sa femme et lui dit :
— On va te prendre en ...