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Martine s'exhibe dans un strip torride (3)
Datte: 16/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory
... compris sans difficulté l’usage de ces accessoires. Pour les suivants, Jean crut bon d’apporter quelques explications : Pour driver la pouliche depuis le siège du sulky, il fallait des rennes, d’où cette longue sangle de cuir de 1 centimètre de large pour plus de 3 mètres de long avec à chaque extrémité un petit mousqueton. Jean sortit ensuite deux pinces crocodiles en métal, il nous expliqua qu’il avait réfléchi au meilleur endroit pour fixer les rennes : Il avait d’abord pensé les fixer, comme pour une jument, à un mors placé en bouche. Mais il y avait renoncé de peur de gêner la respiration et de blesser les dents. Il avait alors choisi de driver la pouliche par les seins Une première idée a été de fixer les mousquetons aux anneaux ornant les aréoles, mais craignant que cela risquait de déchirer les tétons en cas de trop forte traction sur les rennes, compte tenu de la faible section de ces anneaux d’or, je n’ai pas retenu cette proposition. Sans renoncer à driver par les seins, ce que je trouvais personnellement très excitant, il avait alors choisi l’option de poser des pinces crocodiles à l’arrière de ces anneaux sur chaque téton, pinçant suffisamment pour assurer une prise solide. Il avait personnellement testé ces pinces et en avait conclu qu’à part une douleur certaine à la pose, cela devenait rapidement très supportable, comme anesthésié. Jean sortit ensuite une cravache d’environ 1m de long, composée d’une tige semblant être en fibre de carbone ...
... et terminée par une bande de cuir d’environ 5 centimètres de large repliée sur elle-même en boucle pour faire une longueur utile de 10 centimètres. Il nous fit la démonstration que cette bande de cuir ainsi doublée claquait fort lorsqu’on l’appliquait assez vivement sur la peau et ne laissait qu’une rougeur raisonnable (plus de bruit que de douleur). Nous observions tous trois les accessoires que Jean avait préparés et qui nous promettaient beaucoup de satisfaction pour ce qui allait suivre. Nous pensions alors que l’équipement était complet, mais Jean nous en réservait un dernier qu’il sortit comme un trésor de son sac. A première vue, il s’agissait d’un martinet, sauf que le manche était assez court (environ 15 centimètres) et comportait beaucoup plus de lanières qu’un martinet normal. Jean nous expliqua alors le véritable rôle de cet accessoire ; bien sûr que l’on peut s’en servir comme martinet, nous dit-il, mais surtout, il s’agit d’une queue qui, si elle est posée, apportera un peu plus de réalisme et de peps à la pouliche. Nous comprimes immédiatement à quel endroit cet accessoire devait être posé. Pour ce dernier, contrairement aux précédents, il me regarda pour obtenir mon avis. Je le pris donc en main pour l’examiner de plus près. Les lanières étaient en cuir, comme un martinet classique, ce qui doit être douloureux en cas d’usage appuyé, mais ce n’était pas le but que prévoyait Jean. Le manche d’une bonne quinzaine de cm était en matière lisse, genre ...