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Martine s'exhibe dans un strip torride (3)
Datte: 16/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory
... sembleraient nécessaires pour équiper l’attelage et qu’il allait affiner le scénario pour nous le dévoiler à tous, le jour même, y compris à Martine. Il semblait donc qu’il n’avait pas besoin de notre avis. Le jour venu, nous nous retrouvâmes tous vers 19h30 au garage de Jean. Celui-ci était fermé et toutes les portes et baies vitrées occultées par des rideaux métalliques qui rendaient le hall d’exposition parfaitement discret. Nous étions tous en tenue décontractée et Martine avait revêtu sous son manteau une très légère robe portée sur des sous-vêtements noirs légers et sexy. Jean avait fait préparer un lunch de très bonne qualité que nous avons arrosé généreusement de champagne. Martine apprécia beaucoup ce champagne, peut-être trop, en vue de se mettre en condition pour ce qui l’attendait. Vers 21 heures, après avoir discuté de divers sujets comme peut en parler un groupe d’amis autour d’un lunch et de nombreuses bouteilles, Martine devint alors le sujet de conversation : il fallait passer aux choses sérieuses. Jean amena le sulky, ce qui permit à chacun d’imaginer ce qui allait se passer. Il s’agissait effectivement d’un modèle réduit du sulky utilisé pour les courses de trotteurs, avec de petites roues, de longues branches incurvées et d’un siège posé sur l’axe des roues, surélevé d’environ 40 centimètres sur cet axe. Ces branches pouvaient effectivement être attachées sur la pouliche indifféremment à deux ou à quatre pattes. Martine avala une dernière ...
... coupe de champagne et demanda à Jean de lui indiquer le cabinet de toilette. Elle avait compris que l’instant était arrivé de passer aux choses sérieuses et qu’il était temps de pratiquer une toilette intime en profondeur. Le cabinet de toilette était destiné aux collaborateurs du garage et équipé d’un lavabo, cabine de douche et w.c... Martine s’y dirigea avec sa trousse de toilette dans laquelle je savais qu’elle avait glissé une poire à lavement. Jean lui demanda d’attendre quelques instants, il ouvrit un sac et y retira des bottes cuissardes et des gants en cuir souple, il tendit l’ensemble à Martine et lui demanda de les mettre à l’issue de sa toilette et de revenir vers nous, nue et à quatre pattes. A compter de cet instant, Martine avait cessé d’être ma femme et était redevenue l’objet sexuel consentant, livré à quatre mâles bien décidés à profiter, au maximum à nouveau, de ce corps de femelle mis gracieusement à leur disposition. Jean profita de l’absence de Martine pour nous présenter tous les accessoires qu’il avait amenés dans son sac. Il commença par un loup noir qui avait la particularité de ne pas être percé des deux trous pour les yeux. Puis il sortit une large ceinture de cuir doublée de velours et équipée de deux pattes de fixation et de deux boucles. Cette ceinture disposait également d’anneaux métalliques. Assorti à la ceinture, Jean nous montra alors un collier de cuir lui aussi équipé d’anneaux de plus petit diamètre. Jusque-là, chacun avait ...