1. John & Jane (4)


    Datte: 15/05/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... penser hormones et chirurgie mais plutôt esthéticienne et coach de gym.
    
    — Ça me paraît très réfléchi … Paraître femme ? Oui et même paraître pute, comme au cinéma ou dans la rue ! Tu ne voudrais pas devenir ma pute ? que je t’oblige, que tu me demandes, me dises avec qui tu baises, qui te baise.
    
    — Euh …
    
    — Et comme signe d’appartenance tu porterais une cage !
    
    — Une cage ?
    
    — Oui pour t’asexuer, ne plus être mâle. Qu’en dis-tu ?
    
    — Euh...
    
    — Euh, c’est décidé, tu m’appartiens et demain je te mettrai en cage... Après un long silence, elle reprend : Tu la porteras fesses nues.... Nouveau silence avant de balbutier : Je te veux avec de gros tétons...
    
    Sa voix se fait de moins en moins audible, elle tombe de sommeil et s’endort dans mes bras sur ces paroles.
    
    ….........................
    
    La lumière du jour et les cloches toute proches, nous réveillent. Dans mes bras, d’un frottement de fesses elle me fait signe, d’une caresse sur son sein je lui réponds... quelques soupirs, quelques murmures. Elle sent mon sexe bandé entre ses fesses, fait volte-face. Son « Bonjour » s’évanouit en un long baiser sur la bouche. Rapidement elle descend d’un étage vers mon ventre, ses lèvres me décalottent et sa bouche affamée avale un bon morceau de la hampe. Ma main glisse de ses fesses à sa tête et l’accompagne dans son mouvement de fellation...
    
    Satisfaite de mon érection, elle remonte à ma hauteur, me chevauche et tel Andromaque sur son étrier, s’emmanche sur mon dard. ...
    ... Tout sourire, bien en place, elle s’allonge sur mon torse. Nos lèvres se joignent. Mes genoux relevés entre ses cuisses et appuyé sur mes pieds je prends la relève pour la faire sauter à tous les rythmes du court et lent au profond et rapide.
    
    Je la pourfends, je la sodomise, nos lèvres sont de feu, nos bouches voraces, mes mains se cramponnent à ses fesses. Mon alésage se poursuit... La machine s’emballe, explose, après deux jets puissants, mon jus s’écoule dans le bassin. Eve se redresse, se fige à la verticale de mon ventre, tout son fourreau se contracte pour obtenir encore un peu de nectar avant de s’affaler.
    
    — J’ai faim !
    
    — Je prépare tout, je descends chercher pain et croissants, si tu veux tu te laves au lavabo, pas de douche, pour ta toilette intime il y a une poire à lavement et le seau.
    
    — Super petite sœur, merci.
    
    J’enfile jean, pull et imper. Un quart d’heure après, je retrouve Eve dans ses ablutions. Petit déjeuner en tête à tête, il fait un grand soleil, par la fenêtre on voit les toits de zinc et les tours de la cathédrale, c’est le bonheur.
    
    Nous nous préparons à sortir, j’applique fond de teint et rouge à lèvres, Eve tout en rose et moi en bleu, jupe, blouse et veste, nous partons bras dessus, bras dessous pour remonter le boulevard Saint Michel :
    
    — Jane, toute est toute mignonne avec ton ensemble , j’aime beaucoup la large ceinture qui t’enserre le bas du torse comme un corset.
    
    — Oui, un cadeau de Gaby que j’ai remercié d’une levrette ...
«1234...»