La moniale démoniaque (1)
Datte: 15/05/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... je suis nue, allongée avec mes deux plâtres. Elle me regarde quelques secondes et prend un gant qu’elle trempe dans de l’eau chaude, le savonne et le passe sur mon ventre, elle remonte sur mes seins et mon cou. Elle me lave les jambes et remonte entre elles. Elle arrive juste en haut de mes cuisses.
— Pouvez-vous ouvrir un peu votre jambe gauche s’il vous plaît ?
J’ouvre un peu ma jambe, elle trempe le gant dans l’eau, le savonne un peu et le glisse entre mes cuisses. Elle fait deux aller-retour en appuyant et en remontant sur le bas de mon ventre, j’ai une drôle d’impression. Elle replonge le gant dans l’eau chaude pour le rincer, le gant glisse sur mon ventre et remonte sur mes seins, j’ai l’impression qu’elle prend son temps, une sorte d’onde parcourt mon corps. Quand elle les quitte pour rincer mon bras gauche, je remarque qu’ils sont bien durs et pointent vers le ciel, je ne les ai déjà vus comme ça que lorsque j’avais très froid. Elle redescend sur mes jambes toujours légèrement ouvertes, elle repasse entre elles un peu moins rapidement que tout à l’heure, elle me rince consciencieusement, elle insiste un peu juste en bas de mon ventre, l’impression bizarre se confirme, ce n’est pas désagréable. A croire qu’à chaque fois qu’on y touche, une réaction se produit. Elle termine le rinçage et m’essuie rapidement.
Elle me remet la chasuble, la boutonne et me couvre avec le drap. Il fait assez chaud pour se passer de couverture.
— Reposez-vous sœur Clémence, je ...
... reviens dans une heure.
Une heure plus tard, elle revient avec mère Gabrielle, elles me disent que le chauffeur du camion a reconnu ses torts, il avait été obligé d’élargir et ne nous avait pas vus. L’assurance nous rembourse et le couvent aura un nouveau minibus dans trois semaines. Mère Gabrielle nous quitte assez vite, sœur Marie Madeleine reste avec moi, elle semble aimer nos discussions. J’ai vraiment très chaud, j’enlève le drap sur moi, j’écarte un peu ma jambe gauche, la chasuble tombe entre elles, un bouton s’est défait, mais je ne m’en occupe pas. Sœur Marie Madeleine est assise sur le côté devant moi. Je vois que son regard va souvent vers mes jambes, elle doit être inquiète, car ma jambe droite est bien amochée.
— Vous vous faites du souci pour ma jambe droite ?
— Non, je crois qu’elle a été parfaitement opérée, comme votre bras, non je vois que vous avez chaud, allégez-vous un peu, ouvrez votre chasuble.
— Vous pouvez me le faire ?
— Bien sûr.
Elle se lève et ouvre ma chasuble jusqu’en haut de mes jambes. Elle l’ouvre un peu, dévoilant entièrement mes jambes, l’air entre, je suis tellement mieux que j’en soupire d’aise.
— Vous voyez, vous êtes beaucoup mieux maintenant, non ?
— Oh oui, vraiment bien.
J’ouvre un peu plus ma jambe gauche, je suis bien. Sœur Marie Madeleine se rassoit à sa place. Nous discutons, le temps passe, elle me regarde avec un nouveau regard, plein de tendresse, j’ai l’impression qu’elle s’attache à moi, moi aussi je ...