1. Les vacances de Laure (3)


    Datte: 14/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: M. de Seingalt, Source: Xstory

    ... taillés courts, ses cuisses bronzées. Elle ne portait rien sous sa robe.
    
    Les yeux du garçon, écarquillés, ne pouvaient se détacher du corps ainsi offert à lui.
    
    — Tu peux toucher si tu veux, murmura Laure.
    
    François s’avança, leva la main, la posa sur l’un de ses seins et se mit à le pétrir.
    
    — Doucement, dit-elle, vas-y doucement. Fais-lui du bien et il te le rendra.
    
    Il posa la paume sur l’autre sein, saisit les extrémités de l’un puis de l’autre entre ses doigts, puis inclina la tête et y mit les lèvres.
    
    Le garçon était un peu hésitant, mais il avait de l’instinct. Laure sentait ses tétons s’ériger sous la caresse qui leur était prodiguée. Presque par réflexe, elle se saisit de la queue de François à travers la toile du pantalon et y fit courir ses doigts. Il était dur comme du bois, et elle mesura à nouveau la longueur inhabituelle de son sexe. Elle saisit la boucle de sa ceinture, la décrocha, fit tomber son pantalon puis son caleçon sur ses chevilles, et sentit la chaleur de la verge qui se dressa instantanément dans sa main. Elle rompit à nouveau le contact et intima au garçon l’ordre de se dévêtir, ce qu’il fit avec précipitation.
    
    — Prends ton temps mon chéri, nous avons toute la soirée, profite de chaque instant, dit-elle. Maintenant, j’hésite, ajouta-t-elle. J’ai envie de te sucer, et je sais que tu en as envie aussi, mais si je le fais, tu vas juter instantanément. Et je veux que tu conserves toute ton énergie encore un peu. Alors qu’en ...
    ... penses-tu, ne crois-tu pas qu’il vaut mieux que ce soit toi qui me fasses du bien ? As-tu déjà embrassé le sexe d’une femme ?
    
    — Non, je n’ai jamais léché de fille. Je n’ai jamais vraiment rien fait, vous savez.
    
    — Léché? questionna Laure avec un petit rire. Mieux vaut dire embrasser. Tu n’es pas un chien. Enfin, j’espère. Viens là mon grand.
    
    Et elle s’assit au bord du canapé, puis ouvrit grand les cuisses, offrant au regard de son partenaire son sexe maintenant trempé.
    
    — Viens, regarde, touche, mets-y les doigts si tu veux.
    
    Tétanisé, François s’agenouilla entre les jambes de la femme et posa timidement un index sur le pubis de Laure, le fit glisser le long de ses lèvres. Laure soupira de contentement, saisit le poignet du jeune homme, et lui murmura:
    
    — Je vais te montrer.
    
    Et elle guida la main du garçon, lui indiqua comment la caresser, dévoila son clitoris pour qu’il puisse le toucher, puis prit son doigt entre les siens et le fit pénétrer dans sa chatte.
    
    — Tiens, sens-tu comme je mouille ? Rentre ton doigt, retourne-le, et maintenant replie-le. Sens-tu à l’intérieur là sur cette paroi, comme c’est un peu plus rugueux ? Là, caresse-moi là avec ton doigt. Oui, comme ça, continue, tu fais ça bien.
    
    François buvait ses propos avec plus d’assiduité qu’il n’avait sans doute jamais montrée à l’école, et s’activait en suivant religieusement les instructions de son initiatrice. Celle-ci respirait de manière de plus en plus saccadée, alors que l’excitation ...
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