1. Je me croyais sage (5)


    Datte: 14/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory

    ... supplice de plaisir là où il semble être difficile et douloureux pour elle.
    
    Elle repose ses pieds sur les draps et ses mains viennent se plaquer sur le bas de mon dos. De nouveau, elle me pousse en elle et ça y est, mon gland est tout à fait en elle. Elle s’est totalement figée, se mord la lèvre inférieure. Moi aussi je l’ai senti. Mon gland, la collerette de mon gland, à peine plus large que le reste de ma verge est passé, mais je l’ai senti. C’est comme si un élastique s’était rompu au ralenti, un fil trop tendu s’était déchiré. Son hymen est rompu.
    
    Nous restons ainsi un temps qui me paraît durer plusieurs minutes. Chaque fois que je bouge, même à peine, je sens ses ongles se planter dans mon dos, signe d’arrêter tout ce que je fais. C’est idiot, mais une chose commence à me tracasser : j’ai du mal à maintenir mon érection. Peur de lui faire mal, peur de mal faire, stress global, inactivité. La tension sexuelle s’estompe. L’a-t-elle senti ? Ou est-elle prête ? Je ne sais pas, mais elle me repousse encore un peu en elle. Je m’enfonce un peu plus facilement. J’ai envie d’aller jusqu’au fond, mais elle m’en empêche finalement. À mi-longueur de ma queue, elle m’arrête et commence à m’indiquer d’aller et venir. Je commence à bouger. Tout doucement. Pour elle évidemment, mais aussi pour moi. Elle est si serrée que j’ai l’impression que je suis au bord de l’orgasme en permanence. Jamais elle ne me laisse aller plus loin que la moitié de mon sexe, mais elle accélère ...
    ... les mouvements.
    
    Ses gémissements ont clairement la sonorité du plaisir maintenant. Ses baisers sont chargés d’amour et de désir jusqu’à ce qu’elle m’éloigne pour me regarder dans les yeux.
    
    — J’ai envie que tu jouisses en moi, que tu me remplisses.
    
    — Et toi ?
    
    — T’occupe pas de moi, jouis en moi.
    
    Je n’ai pas besoin de me forcer. Il ne me faut que quelques allers-retours pour jouir en elle, la remplir comme elle le voulait. Elle me sent même couler hors de sa chatte et entre ses fesses. Je ne me retiens pas, car c’est si bon, je suis totalement fou d’elle. Je gémis et râle comme je n’ai quasiment jamais osé le faire, même depuis. Peu importe Marion dans la chambre à côté, peu importe quoi que ce soit. J’aime Diane et d’une certaine façon, je me laisse aller pour lui offrir mon plaisir, mon orgasme qu’elle voit combien ce qu’elle m’offre à ce moment-là est explosif, intense, jouissif et me comble. Et comme elle me le dira le lendemain, c’est de m’avoir vu aussi bien, d’avoir vu l’intensité de mon plaisir qui lui a permis d’atteindre un mini-orgasme.
    
    J’ai fini. Je suis toujours en elle, suspendu à mi-longueur de ma queue et je voudrais me laisser aller sur elle, mais je sens bien que je ne peux pas lui rajouter 8 centimètres d’un coup. Nous échangeons des baisers, des caresses. Au bout d’un moment, je n’en peux plus de ce gainage, mes bras me font mal. Timidement, je lui dis que je vais me retirer et m’extrais d’elle avec autant de prudence que lors de la ...