Je me croyais sage (5) - Histoires de Sexe

Je me croyais sage (5)

En bon ado, jeune adulte, j’étais prêt pour un 2e round. Je me souviens que je ne pus m’empêcher de demander si j’avais bien compris et si Marion était bien partie se caresser, ce que Diane me confirma. Ça ajouta à mon excitation et il me sembla qu’à celle de Diane aussi.

Nous nous couchâmes et très vite, Diane, me tournant le dos, vint caler ses fesses contre moi. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, certains détails sont si ancrés dans ma mémoire qu’il me suffit d’y penser pour retrouver les sensations. Et le contact des fesses de Diane fait partie de ces petites choses. Douces, chaudes, fermes et musclées. La façon dont sa peau glissait sur mon bas-ventre, dont je sentais mon sexe se gonfler doucement et caresser sa petite raie. Je garde cette sensation gravée dans ma mémoire.

Ainsi, elle caresse ses fesses contre ma tige quand elle la glisse entre ses cuisses, la faisant aller et venir entre les lèvres de sa petite chatte. Ses doigts se mêlent à nos sexes et de sa main libre, elle m’invite à caresser sa poitrine. Ses petits seins sont très fermes, très ronds, les tétons petits, mais très durs. Je les pince à peine entre mes doigts qu’elle gémit. Je sens qu’elle frotte plus fort contre mon sexe et je ne suis absolument pas certain de tenir avec cette caresse si intense. À ma grande surprise, je sens que Diane dirige ma queue vers l’entrée de sa chatte et appuie doucement. Sentant qu’il faudrait un simple mouvement de ma part pour la dépuceler, je viens mordiller ...

... son oreille pour lui demander si elle veut, si elle est sûre d’elle.

Elle ne laisse échapper qu’un "Humhum" et appuie encore un peu plus mon sexe à l’entrée du sien. Alors je me décide.

— Attends.

Je m’écarte d’elle et tendrement, l’allonge sur le dos et viens au-dessus d’elle. Nous nous faisons face, les yeux dans les yeux. "Tu as le contrôle", lui dis-je. Je prends ses jambes et les passe autour de ma taille. "Ensemble, d’accord ?". Elle ne me répond pas, mais ses yeux disent oui, son corps dit oui, sa bouche sur la mienne dit oui et surtout, ses pieds qui viennent appuyer sur mes fesses, faisant pénétrer mon sexe en elle disent oui. Je sens chaque millimètre progression, chaque élargissement de son sexe autour du mien, chaque tension des tissus pour me laisser passer. Elle me serre dans ses bras de toutes ses forces. Elle gémit de plaisir comme de douleur. Seule la pointe de mon gland est entrée qu’elle arrête d’appuyer ses pieds et je m’immobilise.

— Ça va ?

— Tais-toi.

J’obéis. Elle plaque son front contre le mien. Elle respire fort, gémit doucement. J’ai peur que ce soit de la douleur. À cet instant, je regarde d’avoir une bite large et épaisse. Alors que j’envisage de me retirer, je sens ses jambes se resserrer autour de moi et me pousser en elle doucement. Je l’accompagne, en douceur, en tendresse, en amour. Elle s’immobilise et j’en fais autant. Je culpabilise, car sa petite chatte est si serrée autour de ma bite que chaque mouvement est pour moi un ...