Djalil, un amour de jeunesse (3)
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: AnneLaure, Source: Xstory
... habillée lors de nos ébats dans la camionnette, et qu’il aimerait que je m’habille un peu pareil ce soir. Alors sous la douche avant de partir au restaurant je réfléchissais à ce que j’allais porter pour lui faire plaisir.
Mon string le plus sexy, noir taille basse, en tulle transparent, je ne l’avais encore jamais mis car il est vraiment trop petit ; c’était l’occasion ou jamais.
De même, j’allais porter à nouveau le porte-jarretelles noir en dentelle que j’avais le jour du mariage, je n’avais pas non plus beaucoup d’occasions de sortir avec.
Des bas noirs, comme il m’avait dit aimer ; qui montent en haut des cuisses, accrochés au porte-jarretelles.
Comme le jour de la camionnette j’allais garder ma poitrine nue sous une robe. Mon choix se portait sur une robe beige, très courte puisqu’elle descend juste sous mes fesses, elle laisse la moitié de mon dos nu et a un grand décolleté en v devant. Elle est attachée aux épaules et dans le dos par des ficelles nouées.
Pour cette chaude soirée d’été je me maquillais avec un rouge à lèvres carmin, je détachais mes cheveux légèrement ondulés pour couvrir ma nuque, j’ajoutais une note de parfum, mon collier de perles blanches, et j’enfilais mes bottines en cuir beige.
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Dans la voiture sur le trajet du restaurant Djalil passe son temps à me regarder du coin de l’œil. En position assise ma robe trop courte ne masque pas les fixations de mon porte-jarretelles accrochées tout en haut de mes bas, je ne suis ...
... pas très à l’aise, j’ai vraiment l’impression d’être habillée de manière indécente. Mais j’aime qu’il me regarde, que ne ferais-je pour lui.
Il s’est habillé élégamment avec une chemise blanche qui contraste avec son bronzage et met en valeur son corps musclé, un pantalon de toile et des mocassins.
Au restaurant nous nous asseyons en salle autour d’une table carrée, Djalil et mon père s’assoient les premiers sur les bancs, l’un en face de l’autre contre le mur. Je m’assois en face de ma mère sur le même banc que Djalil, l’espace est réduit et nous sommes collés l’un à l’autre.
Nous discutons tranquillement toute la soirée, régulièrement il caresse l’intérieur de ma cuisse. Pour dissimuler ce qu’il fait en douce, tout en parlant à mes parents droit dans leurs yeux, il est très fort.
Chaque fois qu’un verre se vide mon père nous ressert du vin, et à part ma mère qui doit conduire, nous buvons tous beaucoup. Je n’ai pas l’habitude de l’alcool alors pour ne pas être trop saoule je décide de m’arrêter au troisième verre ; mais gênée par ses caresses sous la table et son aplomb face à mes parents, par réflexe je reprends régulièrement mon verre pour boire une gorgée, comme si ça pouvait détourner l’attention de ce qui se passe entre mes cuisses. En fin de compte, arrivée au dessert, je ne sais plus combien de verres j’ai pu consommer au total...
Le dessert servi j’ai donc trop bu, et à l’addition il me fait écarter les cuisses et frotte longuement la tranche de sa ...