J'aime le voir... (7)
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: caribonex, Source: Xstory
J’aime le voir... mais pas cette fois !
Comme c’est désormais devenu mon habitude, j’ai entraîné mon mec dans un piège sensuel, et en ai retiré énormément de jouissance. Mais en regardant avec lui du porno lesbien, cela a réveillé en moi certains appétits...
Nota : Pour les impatients, usez de la roulette jusqu’aux étoiles********
Quelques jours ont passé après cet épisode ; quelques jours, mais surtout quelques nuits de rêveries sensuelles dans lesquels je me vois pratiquer l’amour saphique. Oh, ce ne sont pas des rêves très détaillés, car les femmes n’ont pas vraiment de visage, enfin elles en ont un, mais à chaque fois, un fin voile empêche de clairement distinguer leurs traits. Les scènes sont multiples et s’entrecroisent, mélange de films (je confesse en avoir regardé d’autres et m’être fait jouir à de multiples reprises) et d’images. Images d’inconnues croisées dans la rue, dans des magasins, d’employées, de vagues connaissances d’université...
Je me réveille chaque fois un peu plus confuse, mais aussi chaque fois plus excitée. Mon mec est content, car nos ébats sont de vraies empoignades sensuelles et sauvages.
J’en viens finalement à utiliser ma solution habituelle en pareil cas et me prends un long bain chaud et relaxant avec plein de mousse. Une fois bien immergée, je me détends et raisonne sur ce qui m’arrive. Suis-je prise à mon propre piège de fantasme ? Quelque chose de latent s’est-il réveillé ? Je dois reconnaître objectivement qu’une expérience ...
... me tente et que oui, il y a dans mon entourage des femmes qui me plaisent. Je me fais cet aveu et, comme si cela avait libéré un verrou mental, ma petite sieste rituelle d’après bain fait naître les mêmes rêves, mais, cette fois plus de voile diaphane, plus de visage estompé. Non je vois clairement Laurane, la plus timide de mes collaboratrices, jeune nerd fan de cosplay aux longs cheveux blonds. Je sais maintenant ce dont j’ai envie, il ne me reste plus qu’à savoir comment faire. Et, à l’instar de la clarté de mes rêves, la solution m’apparaît nettement.
Je me mets donc à jouer sur deux tableaux, d’abord mon mec, ce qui est finalement le plus facile, alterner entre la culpabilité que j’ai fait naître chez lui et le plaisir que je peux provoquer. Je joue les effarouchées devant les désirs qu’il a fait naître à cause de ses films puisque nous en avons visionné d’autres, je lui fais miroiter les plaisirs qu’il pourrait en retirer jusqu’à ce qu’il en salive, puis je le désarçonne en jouant les timides et en lui demandant de ne pas être présent, que c’est sa faute si je suis troublée de tout cela. Le pauvre ne sait plus vraiment à quel saint (j’ai failli écrire sein évidemment) se vouer et je me régale de son désarroi si excitant, car il en rajoute dans l’escalade sensuelle pour me faire plaisir.
Le second axe de mes efforts porte sur Laurane. Oh, je rassure mes lecteurs & lectrices les plus romantiques, je ne suis pas que guidée par l’envie ou le goût de la luxure. Depuis ...