L'accident de moto (1)
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Ange Cestin, Source: Xstory
... Romain se retira pour aller se chercher un café. Il regarda alors Justine avec un regard coquin à peine dissimulé, à la suite duquel elle m’indiqua qu’elle souhaitait l’accompagner, arguant qu’il n’y en avait pas pour longtemps.
Quelques secondes après leur départ, ce fut mon tour d’être ausculté. Le médecin passa en revue mes derniers examens, mais conclut au bout de cinq minutes qu’il lui fallait davantage de données pour avoir un avis tranché sur mon cas. Il me raccompagna donc à la porte de son bureau, avec un nouveau rendez-vous pour passer une batterie de nouveaux tests.
En revenant à la salle d’attente, je jetai un bref coup d’œil. Personne. Je partis donc à la recherche de ma femme et de mon chauffeur. Avant de rencontrer le médecin, j’avais juste eu le temps de voir par quel couloir ils étaient partis.
J’empruntais donc celui-ci, mais au bout de quelques mètres, je m’aperçus qu’il était désert. Cette aile devait sûrement être destinée à être rénovée, mais ils n’avaient probablement pas dû avoir le temps d’en condamner l’accès. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque j’entendis un bruit suspect. Après un bref moment d’hésitation, je souhaitai en avoir le cœur net. Je poussai donc mon fauteuil dans la direction du bruit qui se répétait et se faisait de plus en plus distinct.
Une fois arrivé devant une ancienne chambre, j’ouvris la porte qui n’était pas complètement close. La première chose que je vis fut tout d’abord le manteau de ma chérie posé sur une ...
... chaise. Mon cœur s’emballa, il cognait dans ma poitrine à tout rompre. J’avais le souffle coupé, mais je voulais en savoir plus, je voulais TOUT savoir. J’ouvris donc discrètement un peu plus la porte.
La scène devant mes yeux me tétanisait (ce qui pouvait encore l’être ...). Romain était allongé sur le lit, en boxer, ma femme étalée sur lui, en sous-vêtements également. Elle portait mon ensemble préféré : un tanga en dentelle noir et un soutien-gorge assorti presque transparent.
Ils s’embrassaient, se caressaient. Romain baladait ses mains sur la peau douce de Justine, tout comme j’aimais le faire lorsque je le pouvais encore. Elles parcoururent tout son dos, allant de ses reins vers sa nuque où, au passage, il lui dégrafa son soutif, libérant ainsi ses deux superbes seins ronds, fermes et appétissants.
La vue de ce spectacle m’avait anéanti. Le sol se dérobait sous mes pieds (roues ?), mon univers tout entier implosait. Je voulais crier, tout fracasser, mais ... rien. J’étais comme paralysé par cette vision, par la peur de ce que j’allai découvrir, par cette pulsion voyeuriste que je ne sus pas non plus assumer ni réprimer.
Les lèvres de Justine quittèrent celles de son amant pour descendre vers son cou, puis vers son torse aussi musclé qu’imberbe. Il faut dire que le garçon avait de solides arguments ; toute une tablette d’arguments. Elle ne s’arrêta pas en si bon chemin. Elle ôta tout d’abord son boxer, puis se saisit de son sexe (qui en passant était d’une ...