Qui l'aurait cru
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory
... calendriers des éboueurs. Il a sonné à la porte alors qu’elle était en petite tenue et il l’a tellement bien baratiné qu’elle s’est rapidement retrouvée avec son sexe dans la bouche. Depuis, elle ne se refuse rien, comme hier, et prend son plaisir quand elle le peut.
Lorsque lui confiant aimer la lingerie sexy, qui a le don de m’exciter terriblement. Elle se lève, ouvre une commode et commence à enfiler une guêpière noire assortie de jarretelles, avec des balconnets pigeonnants sans bretelles. Elle enfile une paire de bas et défile ainsi devant moi, me demandant si c’est cela que j’aime.
Et comment ! Je rebande d’un coup et l’invite à me rejoindre sur le lit pendant que j’enlève mon peignoir.
Nous refaisons l’amour, longuement, et je l’entends jouir plusieurs fois avant de jouir à mon tour.
Épuisés, nous nous reposons. Il est midi et demi et je lui demande si Philippe ou Carole risquent de rentrer, mais il n’y a pas de risque.
Je me lève alors et lui prends la main, et je l’entraîne dans le salon où les ouvriers sont en train de manger un sandwich.
Sans me montrer, je la fais entrer alors qu’elle me sourit en coin. En lingerie fine devant ces deux hommes, sans culotte, je l’entends leur dire qu’ils doivent refaire le travail de la veille, car elle n’est pas pleinement satisfaite (je ne saurais dire si elle parlait du travail de la veille ou de son état actuel). Les deux hommes se lèvent et répondent qu’ils adorent fignoler le travail et que c’est toujours ...
... un plaisir. Elle ajoute qu’en outre elle souhaite modifier un point en venant me chercher. À ma vue, les ouvriers, dont l’un a déjà sorti son sexe, sont gênés, mais l’un d’entre eux annonce très vite qu’ainsi il n’y aurait pas de trous apparents dans la façade.
Les deux heures suivantes ont été particulièrement sauvages pour Jacqueline qui a sans doute reçu ce jour-là la plus grosse dose de sexe de sa vie.
En ce qui me concerne, épuisé, il m’est très difficile d’assurer longtemps. Voyant cela, Jacqueline décide que je dois me servir de ma bouche. Je la lèche à outrance, à sa demande, qu’elle ait une bite dans la chatte (ce qui m’amène à leur lécher la hampe au passage) ou dans le cul. Par moments, un ouvrier en train de pénétrer Jacqueline pendant que je la lèche, sort entièrement sa bite et je ne peux éviter de lui lécher le gland à sa sortie ou sa rentrée. Ce faisant, je suis aussi amené à boire et à goûter les sécrétions de Jacqueline mélangées de mon sperme et de celui des ouvriers, et je ne trouve pas cela mauvais.
Puis l’un des ouvriers jouit en Jacqueline et sort sa bite de sa chatte au cours de son éjaculation pour tout lui décharger sur la vulve. Étant en train de la lécher, j’en reçois plein sur le visage et surtout dans la bouche et sur la langue, que je m’empresse d’avaler.
Voyant cela, Jacqueline lèche les restes sur mon visage et me fait asseoir à côté d’elle, pendant qu’elle finit de pomper l’autre ouvrier. Le sentant prêt à jouir, elle rapproche mon ...