1. Qui l'aurait cru


    Datte: 13/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory

    Je vis avec Carole, dans un petit studio en cité universitaire à Nanterre. Nous sommes tous deux étudiants, mais pas dans la même filière.
    
    Les parents de Carole habitent Paris et nous passons souvent le week-end chez eux, voire quelques fois la semaine, car c’est très pratique pour nous.
    
    Les parents de Carole, Jacqueline et Philippe, ont commencé des travaux dans leur appartement pour agrandir le salon en cassant le mur entre le salon et le bureau. Un vrai chantier que deux ouvriers doivent terminer en deux semaines. Jacqueline, ne travaillant pas pour le moment, peut surveiller le chantier en permanence et s’assurer que les ouvriers travaillent.
    
    Carole et moi habitons chez ses parents, car nous approchons de nos examens et nous sommes ainsi dispensés de toutes tâches ménagères. Nous quittons l’appartement à des heures différentes, car nos cours ne sont pas les mêmes.
    
    Cet après-midi, je n’ai plus cours et j’ai donc décidé de rentrer. Il est à peu près quinze heures lorsque j’arrive à l’appartement.
    
    Il n’y a pas de bruit. Cela est normal d’habitude puisque Jacqueline est souvent seule ou sort pendant l’après-midi, mais en ce moment, il y a les ouvriers, et eux devraient faire du bruit. Je pose mon sac et mon blouson dans l’entrée et, sans faire de bruit à mon tour, j’entreprends la visite de l’appartement.
    
    Je n’ai pas à aller bien loin. À peine devant la porte entrouverte du salon, sur le canapé dont la protection plastique a été déplacée, j’aperçois ...
    ... Jacqueline, entièrement nue, en train de se faire prendre en levrette par un des ouvriers pendant qu’elle suce le second. Mon cœur se met à battre la chamade, ne sachant que faire.
    
    Jacqueline est une très belle femme, mais ne se met pas spécialement en valeur par ses tenues vestimentaires. Du coup, elle ne déchaîne pas vraiment les fantasmes et je n’ai jamais « pensé » à elle. Mais aujourd’hui...
    
    Je prends la décision de ne pas me montrer et de profiter. J’observe avec envie Jacqueline jouir sous les assauts des ouvriers, prenant quelques photos, en faisant le moins de bruit possible. Je ne rate pas une miette quand elle se fait sodomiser et que l’autre ouvrier décharge son sperme au même moment sur son visage, la langue largement tirée pour tout recevoir dans la bouche. Une vraie chienne. Je ne l’aurai jamais cru.
    
    Ça a duré encore au moins vingt-cinq minutes pendant lesquelles elle a bien sucé, s’est fait lécher, sauter et enculer par les deux hommes. Moi j’ai joui sur le tapis dans l’entrée après m’être bien masturbé.
    
    Sur ce, je reprends mon blouson et quitte l’appartement avant qu’ils ne terminent et ne me découvrent. En passant, je laisse sur le tableau sur le frigo un message au feutre, disant que je rentrerai aujourd’hui vers 15 heures, comme nous le faisons tous de temps à autre pour prévenir les autres.
    
    Une fois dehors (il est près de seize heures), je fais défiler les photos sur l’écran. Elles sont superbes, et Jacqueline y est particulièrement reconnaissable, ...
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