1. Baisée par le pire des connards (1)


    Datte: 12/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: lel0up, Source: Xstory

    ... aller et venir en moi. Je décide de formuler les choses à ma façon :
    
    — Je veux Hum ! Je veux qu’on continue...
    
    — Haha ! Faut faire mieux que ça. Demande-moi de te baiser.
    
    Il ne lâche rien, évidemment. Mais je n’arrive pas à répondre. Je bloque. Je me suis promis de ne jamais prononcer ce genre de phrase. Alors il entame une sorte de lents mouvements circulaires avec le bassin qui fait bouger légèrement sa bite en moi. Je la sens encore mieux et je me mords la lèvre inférieure.
    
    — Huuuuum...
    
    — J’entends rien.
    
    Je ne peux pas résister. Le plaisir fait tomber mes barrières.
    
    — B... baise-moi...
    
    J’ai déjà horriblement honte, mais ça ne lui suffit pas.
    
    — Où sont tes manières ? Dis «S’il te plaît, Cédric, baise-moi », m’ordonne-t-il, un sourire aux lèvres. La situation l’amuse beaucoup, visiblement.
    
    Là, je comprends qu’on ne va baiser qu’à ce prix-là. Qu’à celui de ma soumission. Qu’il va prendre son pied de me voir prête à tout pour sa queue. Et à cette pensée, je suis surprise de constater qu’une chaleur se répand dans mon sexe. Est-ce que ça m’excite d’être soumise à lui ? À sa grosse queue qui me fend le ventre ? À la force qu’il dégage ? Et pendant que je me pose ces questions, la chaleur augmente, je bous intérieurement. J’entame moi-même des mouvements de bassin pour mieux sentir sa queue. Je perds le contrôle, quelque chose cède en moi et je gémis :
    
    — S’il te plaît Cédric, baise-moi ! Démonte-moi avec ta grosse queue ! J’en peux ...
    ... plus !
    
    Lui-même écarquille les yeux de surprise, puis il affiche son éternel sourire arrogant.
    
    — C’est bien. Je vais t’éduquer moi.
    
    Là-dessus, il retire presque sa queue de ma chatte et la réenfonce immédiatement d’un énorme coup de reins, déclenchant un second orgasme qui m’emporte alors que, de son côté, il commence à me pilonner, entrant et sortant sa queue à une vitesse folle, prolongeant mon orgasme, l’augmentant. Jamais je n’ai joui aussi longtemps et aussi fort. Quand je reviens à moi, il a mon sein gauche dans la bouche. Ses bras musclés maintiennent mes cuisses écartées pour qu’il puisse bien me prendre sur toute la longueur de sa queue. À chaque coup de reins, je la sens taper contre mon utérus. Je crie de plaisir. Heureusement que ma mère travaille le soir et que mon père est au garage ! Cédric, lui, grogne comme un animal et j’aime ça. J’aime voir ses muscles gonflés par l’effort, ses poils collés par la sueur, j’aime le contact de sa barbe naissance qui irrite mon sein, j’aime sentir son odeur, sauvage, primale. Tous mes sens s’éveillent et il le sait. Il sait que je jouis de sa virilité.
    
    Il se retire, me fait mettre à quatre pattes. Il veut me prendre comme une chienne et je ne suis plus en état de résister alors qu’il m’enfile à nouveau. Il pousse le vice jusqu’à me donner des fessées comme une mauvaise fille et à chaque fois que je sens sa grande main s’abattre sur ma peau, je pousse un petit cri de douleur et d’extase. Ça l’excite d’autant plus. Il accélère sa ...
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