Baisée par le pire des connards (1)
Datte: 12/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lel0up, Source: Xstory
... D’un autre côté, mentir, c’est aussi une forme de soumission. Je veux être une femme forte, libre, qui n’a pas peur de dire à un homme ce qu’elle pense et ce qu’elle désire. D’ailleurs, ça lui fera peut-être rabattre son clapet.
— Oui, elle me fait envie.
Ma réponse le fait sourire. Il n’est pas du tout déstabilisé. Raté. Il prend ma main et la pose sur son sexe. Après quoi il se rallonge et croise les bras derrière la tête. Il ferme les yeux et dit :
— Branle-moi alors.
Je n’aime pas son attitude. Mais maintenant, il est trop tard pour reculer. Si j’arrête tout, j’aurai juste l’air de la jeune prude qui a peur du loup. Non, je vais lui montrer qu’on peut être deux à jouer à ce jeu-là. Je prends sa bite en main et je commence à faire des va-et-vient. Elle grossit rapidement dans ma main, et je dois bien avouer qu’il a de quoi être fier, ce con. Elle est tout simplement énorme. J’ai même du mal à la tenir en main. Ça aurait été tellement plus simple pour mes principes s’il avait un micro-pénis...
Il soupire de contentement, les yeux toujours fermés. Je sens que ça ne va pas lui suffire, une branlette vite faite. Comme je ne veux pas me contenter de répondre à ses ordres, je prends les devants et lèche son gland. Ça marche. Il se redresse et ouvre les yeux. Il a l’air surpris, mais se reprend vite. Il me sourit avec arrogance.
— Eh bah. T’avais faim on dirait...
C’est ça, rigole. Pour lui montrer qui commande, j’engouffre autant de sa bite que ma bouche ...
... peut en contenir, d’un coup. Il pousse un râle et je jubile intérieurement. Je ne suis pas une de ces connasses que t’as l’habitude de soumettre, mon grand. Mais il ne se laisse pas faire si facilement. Il place une main sur mon crâne pour commander le rythme de la fellation. Même si ça me fait mal de l’admettre, ça m’excite. J’aime sa prise ferme. J’aime l’odeur de cambouis qu’il a sur les mains, les soupirs de satisfaction qu’il pousse. Je commence même à me toucher au travers de mon short.
Je le suce comme ça pendant plusieurs minutes. Et même si je prends mon pied, ça ne va pas du tout. Il faut que je reprenne le dessus. Du coup, ma bouche quitte sa bite et s’attaque à ses grosses couilles. Je les lèche, je les gobe longtemps tout en le branlant. Je sais que c’est une zone très sensible chez les mecs. Cédric fait moins le malin là. Il apprécie, mais il est un peu crispé. J’ai envie d’aller plus loin. Je m’étonne moi-même quand je dis :
— Huuuum... T’as de grosses couilles, j’adore. Elles ont l’air bien pleines. C’est pour moi que tu gardais tout ce foutre ?
Il hallucine de m’entendre dire ça. Il répond :
— Putain, toi, tu vas prendre cher.
Là, il se redresse et en un tour de bras, il m’enlève mon short et me positionne à quatre pattes.
— À mon tour.
Il met sa tête entre mes jambes et lèche ma chatte comme un affamé. Même si la position n’est pas des plus valorisantes, je considère que c’est moi qui domine là, puisqu’il s’évertue à me donner du plaisir. ...