Baisée par le pire des connards (1)
Datte: 12/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lel0up, Source: Xstory
... fallait les respecter. Je me répète ça et, au bout d’un moment, j’arrive à laisser de côté mon attraction pour me concentrer sur la colère.
Heureusement, je ne suis pas la seule à résister. En cours de français, notre prof, une quarantenaire assez jolie, lui demande de remettre son tee-shirt. Il lui répond « j’ai très chaud Madame », avec un clin d’œil. Ça l’énerve, elle dit qu’elle ne veut pas le savoir, que ça ne se fait pas. Il répond « Pourquoi ? Personne ne s’est plaint de la vue ». Il affiche un sourire goguenard. Je me dis qu’à ce rythme, il va se prendre une colle et que ça sera bien fait. Elle répond « Moi je me plains ! ». Il plante son regard dans le sien et il dit, avec une voix sensuelle « Vous êtes sûre ? Moi, en tout cas, je ne me plains pas de la mienne... » et il la reluque sans se cacher. À ma grande déception, elle paraît troublée par ce jeune homme viril qui lui fait du rentre-dedans. Elle bredouille « bon, ça ne mène nulle part » et elle reprend son cours, en le laissant torse nu. Dès qu’elle a le dos tourné, pour écrire au tableau, Cédric tape dans les mains de ses potes, en signe de victoire.
Ensuite, il se cale bien au fond de sa chaise, les jambes écartées, les bras derrière la tête, en exposant ses aisselles dont les poils sont collés par la sueur.
Ça fait deux semaines qu’il bosse pour mon père quand il vient me trouver dans ma chambre, après son boulot. Il toque simplement et il entre avant que j’aie eu le temps de répondre. Je suis sur ...
... mon lit, assise en tailleur, en train de regarder des vidéos sur mon portable. Il me demande si j’ai révisé le devoir de maths qu’on a le lendemain. Je réponds que oui. Il me demande alors de l’aider. Avec cette histoire de boulot, il n’a pas eu le temps de s’y pencher. Je n’ai pas franchement envie, mais il insiste, il me fait un regard de chien battu, tout en souriant. Un sourire en coin que je l’ai déjà vu utiliser pour séduire les filles. Et je dois bien admettre qu’il est craquant. Je soupire et finis par accepter. Première erreur.
Je pensais qu’on allait s’installer à mon bureau, mais il me rejoint sur le lit et s’allonge. Pas vraiment la meilleure position pour réviser. Ceci dit, il est canon, allongé comme ça. Il est torse nu, évidemment. Il a des traces de cambouis sur les bras et les abdos. Il transpire encore de l’effort produit en aidant mon père. La chaleur dans ma chambre, n’arrange rien. Elle est sous les toits, et il doit bien faire 30 degrés. Moi-même, j’ai enfilé un short très court et un débardeur. Je n’ai même pas de soutien-gorge. D’ailleurs, je vois qu’il me mate et ça me perturbe. Je ne peux pas m’empêcher de me sentir flattée, tout en me maudissant de l’être, intérieurement. Pour me donner un peu de constance, je me lance dans une longue explication de notre cours de maths. Son regard va de mes cuisses à mes seins. Il hoche la tête, sans que je sache s’il veut dire qu’il comprend ce que je raconte, ou s’il approuve mon physique. Enfin, je ne suis pas ...