Maison d'arrêt (7) - Histoires de Sexe

Maison d'arrêt (7)

... et ne surtout pas se précipiter bouche grande ouverte. Ca c’est bon pour les petites pipes vite faites avec tes camarades de fac!

Attends, je vais te faire voir! Remets les boutons en place, je vais recommencer depuis le début.

Philippe est un peu frustré que j’enlève sa queue de ma bouche pour la remettre dans son pantalon, mais la perspective de se faire sucer par ma mère l’emporte sur ce contretemps.

Maman se met à genoux a coté de moi et pose ses mains sur l’entrejambe de son cobaye. Elle sent sa verge palpiter derrière le tissu.

— Tu vois me dit-elle. Sa queue a senti ma présence. Elle sait ce que je vais lui faire et elle est déjà toute excitée. Je vais la faire languir encore un peu. Regarde moi bien.

Tout en continuant à le caresser à travers son jean, maman lève la tête vers Philippe et lui lance un regard aguicheur. Puis, toujours en le fixant dans les yeux, elle fait passer sa langue sur ses lèvres.

Je l’observe attentivement. Ce n’est pas mon sexe qu’elle est en train de caresser, mais je bande quand même comme un fou.

— Tu vois comment sa queue est raide maintenant? Vas-y touche!

Je pose à mon tour une main entre les jambes de mon amant.

— Oh oui en effet maman. Si ça continue comme ça, le jean va exploser!

— Tu as raison, il est temps de la libérer maintenant.

Ma mère entreprend alors de défaire les boutons lentement, un à un. Alors qu’elle vient de faire sauter le troisième, la grosse queue si longtemps emprisonnée jaillit ...

... brusquement à l’horizontale.

— Alors, c’est pas mieux comme ça?

Je pousse un soupir admiratif.

— Ah oui, en effet.

— Bien. Maintenant que cette petite coquine est sortie, il faut bien l’humidifier.

— Ca je sais faire maman!

— Vas-y, fais moi voir.

Je toujours agenouillée à coté de ma mère, et celle-ci pousse la queue vers moi du bout des doigts. Je l’attrape et dépose le plus de salive possible sur le somment du gland. Je cracherais bien dessus, mais je trouve cela trop vulgaire. Ensuite, je l’étale du bout de la langue puis je peaufine avec l’ensemble de ma bouche.

Mais alors que j’essaye de faire rentrer le membre le plus profondément possible au fond de ma gorge, le bout du gland touche ma luette et je suis prise d’une quinte de toux.

— Queuf, queuf, queuf....

Je retire vivement la queue.

— C’est toujours pareil, je n’arrive pas à la prendre entièrement dans la bouche. J’aimerais tellement savoir faire une "gorge profonde". Tu crois que la queue de Philippe est trop grosse pour ça?

— Une gorge profonde! Et bien tu es ambitieuse. Je ne comptais pas commencer par t’apprendre ça. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus facile à faire.

Mais bon, je vais quand même répondre à ta question. Non. Elle est très grosse en effet, mais il est possible de la prendre en entier. C’est une question de respiration. Demande à ta sœur.

Je tourne la tête dans sa direction.

Elodie est incapable de répondre. Elle a les yeux levés vers le plafond et s’astique ...