Maison d'arrêt (7) - Histoires de Sexe

Maison d'arrêt (7)

Je retourne voir Philippe le cœur léger.

Il n’y a pas que mes couilles qui ont été soulagées, il y a également mon esprit. En me suçant, ma mère a fait disparaitre toutes les craintes que j’avais qu’elle ne veuille plus jamais me voir.

Contrairement à ce matin ou je suis allée au parloir presque à reculons, je sautille maintenant sur mes talons aiguilles dans les couloirs de la prison. Aussitôt rentrée dans la cellule, je me jette au cou de mon homme.

— Et bien, tu es drôlement enjouée. L’entrevue avec ta mère s’est bien passée çà ce que je vois.

— Oh oui, tu ne peux pas savoir. Je n’aurais jamais pu imaginer que cela se passerait aussi bien.

Sans attendre, je commence à raconter ce qui c’est passé.

— Et à la fin, dis-je à mon amant au creux de l’oreille, ma mère m’a...sucé!

Philippe fait un bond

— Tu te fous de moi là.

— Non, je te jure. Après avoir vérifié que je bandais comme lui avait dit ma sœur, elle s’est mise à genoux et elle m’a pris en bouche.

— Ta mère a l’air d’être une sacrée Sal...., enfin je veux dire une femme très sensuelle à ce que je vois. Je comprends maintenant de qui tu tiens!

Je lui donne une petite tape sur l’épaule.

— Non mais! Je ne te permets pas!

— Et que je reprenne ton cul, tu le permets?

— Si c’est demandé gentiment, je t’en pris mon chéri. Ma sœur l’a déjà bien échauffé.

— Tu es vraiment qu’une petite pute!

— Oui je sais. C’est pour ça que tu m’aimes. Allez, cesse de parler et baise moi.

Une ...

... fois le feu que j’avais au cul éteint, je me remets dans les bras de mon homme.

— Il y a un truc que je ne t’ai pas encore dit.

— Ah. Quoi donc?

— Ma mère aimerait que tu viennes avec moi au parloir la prochaine fois.

La main de Philippe serre la mienne d’un coup en entendant cela.

— Aille! Doucement, tu me fait mal.

— Excuse moi ma puce. Je ne sens pas ma force.

— Et bien moi si. Il y a un moment que je la sens ta force. Surtout dans mon cul!

Cela le fait sourire.

— Et.....Qu’est ce qu’elle me veut ta mère?

— Oh rien, juste faire connaissance.

Philippe n’est pas dupe.

— Toi, tu me caches quelque chose!

— Inutile d’insister, ce sera une surprise. Je ne dirai rien, même si tu me tortures avec ta grosse queue.

— Tu aimerais bien. Non en fait, je vais cesser de t’enculer tant que tu ne m’auras pas tout dit.

— PUFFFF. Tu crois vraiment me faire peur? Comme si tu étais capable de résister à mon petit cul.

Philippe comprend qu’il ne gagnera pas à ce petit jeu avec moi.

— Bon d’accord, j’abandonne. Peux-tu au moins me dire si ce sera une bonne surprise?

— Ah ça oui, je pense que tu vas adorer.

La semaine passe trop lentement au gout de mon homme. Il est impatient de connaitre la surprise que lui réserve ma mère.

Je n’ose deviner ce qu’il espère, mais le connaissant ce cochon je suis sur qu’il a des idées très salaces. Quoi qu’il en soit, le jour J il est chaud comme la braise.

Ma mère et ma sœur attendent déjà dans le box ...