1. Nos Belles Pyrénées (5)


    Datte: 10/05/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... plaisir fusionnel, ampli d’un désir ardent, mais aussi de tendresse et de complicité entre nous.
    
    Leurs assauts étaient rudes, ils avaient tant été privés à la fois de sexe, mais surtout d’amour que leurs ressources me semblaient... inépuisables. Ils se sont emparés tout à tour, de tout mon corps, cherchant mes orifices, mais aussi mes caresses, mes baisers. Puissance et sensualité nous unissaient tous les trois en un trio sublime qui semblait toujours inassouvi tant notre soif était intarissable.
    
    Sans doute mon acceptation de cette situation quelque peu inhabituelle les avait dynamisés et ils me semblaient empreints d’une fougue que je n’avais pas encore connue de leur part. Pierre me défonçait la grotte de toute la longueur de ses 24 centimètres, à grands coups de bélier, comme s’il cherchait à m’ouvrir encore davantage. J’étais dévasté et je hurlais mon plaisir.
    
    De la position de levrette, il est sorti de moi et s’est allongé, m’empalant sur son pieu toujours aussi large et dur, forant mon réceptacle d’une manière encore plus ample. J’ai senti Laurent venir derrière moi, frottant son torse velu sur mon dos, des baisers dans mon cou et son gland approchait le sexe de son frère, totalement enfoncé en moi.
    
    — Non... !!! Pas ça... Je pourrais pas... !!!
    
    — Mais Si, Chéri... Laisse-toi faire... Les sexes de tes deux hommes en même temps dans toi, être possédée par tous les deux... Ce n’est pas la symbiose parfaite ?
    
    — Vous êtes tellement gros tous les deux, je ...
    ... ne vais pas en être capable.
    
    — Bien sûr que oui... Tu t’ouvres déjà...
    
    Si j’avais déjà pratiqué la double pénétration au Maroc avec Khaled et son frère ou son cousin, cela faisait tellement longtemps que je ne pensais pas pouvoir la supporter à nouveau, surtout avec des bites d’un tel calibre et d’une telle largeur.
    
    Mais je pense que tous les vrais passifs me comprennent, c’est souvent dans la tête que ça se passe. Quand l’envie est très forte, le corps s’adapte, se lâche, s’ouvre et accepte la pénétration même si elle est... Spectaculaire... Et mon désir pour eux deux était hyper-fort.
    
    Laurent a introduit son gland dans ma fente, déjà occupée par son frère, et lentement, il a continué sa progression jusqu’à ce que ses couilles me tapent sur les fesses, joignant celles de son frère. Je me sentais totalement écartelée, la douleur était intense, mais le plaisir l’était encore davantage, la submergeant. J’avais mes deux maris en moi et j’étais comblée.
    
    Leur sperme que j’avais déjà reçu à plusieurs reprises a servi de lubrifiant à cet accouplement hors norme, et nos mouvements se sont très vite synchronisés. L’arôme qui régnait dans notre chambre était beaucoup plus aphrodisiaque que du poppers, cette odeur d’homme en rut, ils « puaient » le mâle.
    
    Comme ils m’avaient déjà pris plusieurs fois auparavant, à ma plus grande joie, ils ont été plutôt longs à jouir. En même temps, leur liqueur s’est déversée en moi, dans une extase absolue pour tous les trois, et nous ...