1. Alicia et ses rêves (1)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: Sophia Nature, Source: Xstory

    ... m’a rappelé celle que ma mère utilisait après sa douche. Cette pensée m’a rendue triste, mais ça, c’était avant que Madame Aguilar n’écarte ses jambes, pour que ma cousine et moi puissions admirer sa chatte très poilue sous sa jupe grise. Pendant qu’elle bougeait ses pieds de façon à nous obliger à lécher leur plante et leur talon, ses jambes s’écartaient plus, nous laissons voir ses petites lèvres roses qui dépassaient des grandes, à la couleur plus foncée que la peau de ses cuisses.
    
    Elle s’est penchée sur le côté et en nous regardant, elle a demandé à Tiphaine de soulever ma jupe et de tirer le devant de ma culotte vers le bas. Madame Aguilar a alors glissé son pied avec ses orteils mouillés par ma salive sous ma chatte imberbe, avant d’ordonner à ma cousine de lâcher l’élastique. L’effet fut immédiat et je me suis mise à gémir sous cette caresse. Comme pour éviter de m’entendre, la directrice a mis son autre pied dans ma bouche et elle a ordonné à Tiphaine de venir la rejoindre. Cette dernière s’est exécutée en me faisant un petit bisou sur la tempe avant de sortir de sous le bureau, parce qu’elle était sûrement inquiète de ce que cette femme allait lui faire.
    
    J’entendais la directrice ordonner à Tiphaine d’enlever ses chaussures et ses chaussettes, puis de faire la même chose avec sa culotte.
    
    Madame Aguilar : « Très bien, donne-la-moi et assis-toi sur mon bureau ! Maintenant écarte les jambes !»
    
    Je voyais les jambes de ma cousine pendre du bureau et les mains ...
    ... de la directrice ont saisi ses chevilles pour les poser sur ses accoudoirs.
    
    Madame Aguilar : « Remonte ta jupe et caresse-toi ! »
    
    J’entendais ces mots de la directrice, tandis qu’elle s’adossait à son siège et qu’au passage elle enfonçait plus profondément le bout de son pied gauche dans ma bouche, sans arrêter de caresser mon vagin avec le haut de son pied droit. Quand elle recourbait les orteils de celui-ci vers le haut, ses ongles me griffaient le vagin ou l’anus, ce qui me faisait sursauter et je me cognais la tête contre son bureau. Elle sortait alors son pied de ma bouche, pour me frapper méchamment la fasse avec ses orteils, l’enduisant avec ma propre salive. Avant de les enfoncer à nouveau en direction de ma gorge, ce qui provoquait chez moi des haut-le-cœur et un long écoulement de salive, qui dégoulinait sur son talon avant d’imbiber la chemise blanche et la jupe plissée bleue que je portais.
    
    Madame Aguilar : « Caresse-toi plus vite, utilise ton autre main pour jouer avec ton cul ! Passe ta main sous tes fesses si t’as du mal à atteindre ton trou !"
    
    C’était le genre de choses que cette perverse demandait à ma cousine de faire. J’entendais Tiphaine gémir en lâchant des "Oui Madame la directrice.", à chaque fois que cette femme lui donnait un ordre. Au bout d’un certain temps, ma cousine a demandé à la directrice si elle pouvait jouir. Alors Madame Aguilar a retiré ses pieds de ma bouche et de sous mon sexe pour les poser sur la moquette, avant de tirer sa ...
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