Alicia et ses rêves (1)
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Sophia Nature, Source: Xstory
... en me doigtant le cul. Dans les dix dernières secondes, toutes les filles se mettraient à compter en cœur avec Madame Agnès et même Sophie cette peste, me motiverait en me disant "Allez vas-y sale garce, je sais que tu peux y arriver ! Je sais que tu peux faire jouir ta chatte de salope devant toute notre classe !". Et c’est sur cette remarque horrible sur mon intimité que ma pire ennemie me ferait jouir. Je crierais alors comme une folle, tandis qu’un puissant jet giclerait hors de mon intimité, arrosant au passage mes spectatrices.
Une fois repue de cet orgasme, j’ouvrirais les yeux et mes camarades autour de moi me regarderaient d’un air étonné, mais aussi dégoûté qu’on puisse prendre autant de plaisir à faire un truc pareil devant elles. Ma prof dirait alors "Allez les filles lâchez-la ! » et en s’adressant à ma cousine et à moi « Et que je ne vous y reprenne plus !". J’entendrais alors la sonnerie de la récréation et c’était à présent l’heure pour moi d’affronter dans la cour, les regards et les remarques sur ce que je venais de faire devant toute une classe d’un lycée pour fille.
Chapitre 2 : Punition chez la directrice
On était à genoux avec Tiphaine sous le bureau de la directrice, embrassant ses pieds et léchant le cuir de ses talons. Elle nous a précisé qu’elle aimait qu’on embrasse ses orteils qui dépassaient par les bouts ouverts de ses chaussures. On espérait que Madame Aguilar notre directrice, soit moins stricte que Madame Agnès notre prof de math ...
... (qui nous avait punies la veille), mais elle avait la réputation d’être beaucoup plus vicieuse quand il s’agissait de punir des élèves coupables de fautes à caractère sexuel, dans ce lycée pour fille qu’elle dirigeait.
Quand Madame Agnès nous avait emmenées vers son bureau ce matin-là, elle nous avait bien précisé de faire tout ce qu’elle nous demanderait de faire. Sinon la directrice appellerait nos parents pour leur raconter ce qui nous a valu d’être punies devant toute notre classe. Son inquiétude était contagieuse parce qu’avec ma cousine Tiphaine, on ne l’avait jamais vue aussi nerveuse jusqu’à maintenant.
Madame Aguilar était une femme brune qui avait la cinquantaine, elle avait des origines espagnoles qu’on devinait avec sa peau mate, que le rouge sur ses lèvres mettait en valeur. Elle a été enseignante toute sa vie et elle aimait dire qu’elle avait dressé beaucoup de petites perverses à sa façon. On n’a jamais vraiment compris ce que cela signifiait, mais en marchant au côté de Tiphaine dans ce long couloir silencieux qui menait à son bureau ce matin-là, on savait qu’on était sur le point de le découvrir.
On était toujours à genoux sous le bureau de la directrice et elle avait sorti ses pieds de ses talons, qu’on s’appliquait à lécher avec ma cousine. On passait nos langues entre ses orteils vernis en rouge, avant de les sucer comme des petites bites un par un. En plus de l’odeur du cuir et de transpiration, ses pieds sentaient une odeur de crème hydratante qui ...