La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1547)
Datte: 04/05/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... ressentais de nouveau la grande perversité de cette rustre femme. Sur ces gants, un nombre incalculable de petites pointes saillantes sur l'extérieur sur chaque doigt et dans la paume m’interdisant ainsi de me toucher et/ou de me masturber.
- Tu as compris de l’utilité de ces gants, tu vas rester la nouille à l’air, mais d’aucune manière tu es autorisé à te caresser ou te branler, petite putain.
J’avais compris et me rassurais du fait que Madame Marie n’exigeât point que je continue à me masturber, elle en aurait été largement capable, connaissant son sadisme. Elle m’attrapait par mon collier et m’entrainait vers cet espace vitré, dans lequel elle me faisait grimper puis entrer, par une lourde porte, elle aussi vitrée, pour m’y enfermer en me poussant prestement par un coup de pied sur le cul, de sa haute botte en cuir noir.
- Tu vas rester quelques jours ici, dans ce bocal, sale chienne…, que dis-je… pas une chienne… Juste un rat de laboratoire, un cobaye…, me disait-elle avant de verrouiller la porte !
Madame Marie éclatait d’un rire moqueur et sadique, moi je frémissais. Dans ce bocal, comme l’avait nommé la perverse cuisinière, fermé sur le dessus par une grille métallique ajourée, il m’était impossible de tenir debout. Le sol était froid, vitré également. Un sceau transparent était à disposition pour mes besoins naturels. J’étais là, allongé, me sentant perdu, mais n’éprouvant ni colère, ni peine, ni tristesse, seule un sentiment d’ennui me gagnait. J’étais ...
... seul désormais depuis déjà un bon moment, pourtant je me sentais épié et observé. J’étais quasiment certain qu’il y avait des caméras un peu de partout dans cette pièce toujours intensément éclairée. Evidemment je me questionnais : « Combien de temps vas-tu rester là ?, Pour quelle raison t’impose-t-on cet enfermement ? ». Ceux qui le savaient ne m’avaient évidemment rien dit… J’arrivais tout de même et avec peine à m’endormir mais lorsque je me réveillais, j’étais surpris de voir un homme en blouse blanche, suivi de trois autres personnes, trois jeunes gens, deux hommes et une femme. L’homme en blouse blanche dialoguait avec ces trois individus, mais leurs échanges m’étaient inaudibles. Derrière ces vitres épaisses, je n’entendais rien ou presque.
Les trois jeunes, avec chacun un carnet et un stylo en main, prenaient des notes. Ils ressemblaient en tout point à des étudiants en médecine. Chacun des protagonistes me regardaient intensément, l’homme en blouse blanche, s’était approché de la vitre et me dévisageait, semblait analyser chacun de mes mouvements de paupières, puis regardait et détaillait mon corps avec insistance. Je me sentais animal, une bête sauvage exhibée dans un zoo, me laissant dompter par la force des choses, inconsistant, impalpable mais contraint à leur voyeurisme insistant et à mon exhibition forcée. Qui plus est, il leur était possible de passer sous cette cage de verre, via un petit escalier menant sous ce podium, pour examiner ma bite semi flasque ...