1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1547)


    Datte: 04/05/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... manière je pouvais savourer l’instant présent, me reposer, me ressourcer, lire, écouter de la musique, faire ce que j’avais envie de faire…. Non, l’omniprésence de Monsieur le Marquis m’entravait, me restreignait, contrecarrait mes plans et mes envies, au moment même où je m’y attendais le moins. Pire encore, c’était de ne pas savoir ce que le Châtelain me réservait… En montant dans ma voiture, je me sentais fatigué, las, et devais-je me l’avouer, pour la première fois, sans enthousiasme ni entrain pour regagner le Château. Néanmoins à 20 heures moins quelques minutes, je me présentais devant l’immense grille de cette ancestrale Demeure. Le Majordome visiblement m’attendait sur les marches du perron. Très vite, je me déshabillais dans mon véhicule. Dès que je fus entièrement nu et sorti de ma voiture, Monsieur Walter me hélait :
    
    - Viens par ici, la pute, dépêche-toi !
    
    Je le saluais respectueusement, alors que lui, sans un mot me plantait deux de ses longs doigts dans mon cul, tout juste refermé. Tête basse, jambes écartées et reins cambrés, je me laissais alors fouiller, je le laissais inspecter et perquisitionner mon intimité, bien que ce mot « intimité », à cet instant, ne me semblât plus du tout approprié ! D’ailleurs un esclave n’a plus d’intimité, ou du moins elle ne lui appartient plus, elle est au Maître. Lorsqu’il eut terminé, il me posait un collier autour du cou et m’ordonnait de le suivre à quatre pattes derrière lui, jusque dans une pièce que je ne ...
    ... connaissais pas encore. Dans celle-ci, une lumière blanche et très intense m’aveuglait. Mes yeux s’habituaient peu à peu à cet insupportable et pâle éclairage alors, j’entrapercevais et découvrais ce lieu aux murs blanchis et sans fenêtres, sans la moindre décoration, avec au centre, posé sur un podium, un espace totalement vitré. On eut dit un grand aquarium ou plutôt un vivarium, puisqu’il n’y avait pas d’eau à l’intérieur de ce volume d’environ deux mètres sur deux, d’une hauteur d’un mètre cinquante environ.
    
    - Debout la salope !, m’ordonnait Madame Marie que je n’avais pas encore vu.
    
    Humble, respectueux, silencieux, je me présentais devant elle avec crainte, connaissant son sadisme et sa perversité à outrance, alors qu’elle m’ôtait sans précaution particulière ma cage de chasteté.
    
    - Tends-moi tes mains, plutôt que de me tendre ta nouille comme tu le fais, sale pute !, me commandait-elle en me tirant les cheveux pour me soulever la tête et me gifler sans ménagement d’une violentes paire de baffes fusant à la vitesse grand V.
    
    Effectivement, je bandais, une érection dure et ferme, avec le gland baveux. Sans comprendre, la cuisinière me crachait sur la figure et m’enfilait des gants de cuir, munis sur le dessus, d’une sangle en cuir qu’elle attachait et verrouillait avec des petits cadenas, de telle manière que je ne puisse les ôter.
    
    - Empoigne ta nouille de chien et branle-toi, la lopette !, m’ordonnait-elle une fois encore d’une voix très autoritaire.
    
    Très vite, je ...