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Tiraillé entre ma bonne et ma mauvaise conscience (3)
Datte: 03/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: MonCanard, Source: Xstory
... fou. Ma tante calma un peu mes ardeurs en plaçant ses jambes sur mes fesses. — Ne t’affole pas mon garçon, tu as bien le temps, si tu continues comme ça, tu vas encore envoyer la purée avant d’en avoir un peu profité. Ma queue s’enfonçait jusqu’aux couilles dans ce puits d’amour, ma tante se tortillait sous mes coups de boutoir en gémissant doucement. Elle me serrait dans ses bras, puis elle passa ses deux mains tout le long de mon dos jusque sur mes fesses comme si elle cajolait un petit enfant. Sentant venir le moment de l’extase, j’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je gicle au fond du réceptacle en lâchant un cri de plaisir. Quel pied j’avais pris, je n’aurais jamais imaginé pareille chose ! Je n’étais pas le seul à avoir pris mon pied, ma tante restait immobile sous le poids de mon corps, les yeux mi-clos, semblant savourer cet instant délicat. Il me vint une petite idée, me penchant vers l’oreille de ma tante, je lui dis à voix basse : — Chère tata, puisque tu m’as dit de profiter de mon cadeau d’anniversaire, j’aimerai bien en profiter encore un peu, est-ce que je peux t’enculer ? — Hummmm, répondit-elle, je n’osais pas te le proposer. Joignant le geste à la parole, elle se tourna et me mit sous le nez son gros cul, sa rosette brune béait et n’attendait qu’une visite. — Trempe tes doigts dans ma cramouille et utilise le jus pour lubrifier mon petit trou, il y a tellement longtemps qu’il n’a pas reçu de visite qu’il doit être bien sec le ...
... pauvre. De sa chatte béante s’écoulait un liquide épais, mélange de mouille et de sperme, liquide idéal pour lubrifier ce petit trou du cul délaissé depuis plusieurs années. Je plongeais deux doigts dans la moule gluante et récoltais une bonne dose de lubrifiant naturel que j’introduisis dans la rosette. Après deux ou trois passages, le petit trou luisait de mille feux, il était apte à recevoir mon hommage. De ma main, je dirigeais mon ogive vers sa cible, grâce à cette bonne lubrification, la pénétration se fit sans grande difficulté malgré l’étroitesse du passage. Ma tante ronronnait de plaisir et exprimait sa joie en feulant telle une lionne sous les assauts de son mâle. Cette sensation était différente de celle ressentie en limant la moule de ma maîtresse, mais le sentiment de domination que me procurait cette enculade m’excitait au plus haut point. Je ne mis pas longtemps à atteindre encore une fois la jouissance, je vidais mes ultimes cartouches dans ce cul si accueillant en même temps que la foudre tombait pas très loin de la maison. J’avais évacué mon trop-plein de jouissance accumulé depuis ces dernières heures en criant également au même moment. C’est ainsi que le jour de mes 18 ans et pendant une nuit d’orage, je fus dépucelé par ma tante Agathe. Les images se brouillèrent et j’ouvris de nouveau les yeux, j’étais toujours dans cette maudite chambre d’hôpital. Bizarrement depuis ce jour, mes voix ne se manifestèrent plus. Mais après ce que j’avais vu au début ...