Tiraillé entre ma bonne et ma mauvaise conscience (3)
Datte: 03/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: MonCanard, Source: Xstory
J’ouvris les yeux doucement, redoutant de voir la suite de ces images. Karine se tenait près de moi, en la voyant me sourire, je ne pus m’empêcher de la revoir avec la queue du proviseur dans la bouche.
MA BONNE CONSCIENCE : « Heureusement que toi tu n’as rien à te reprocher, tu es vraiment le bon élève de la classe ».
MA MAUVAISE CONSCIENCE : « Lui ! Blanc comme neige ? Laisse-moi rire ! Et le soir de tes 18 ans quand tante Agathe vint te trouver dans ta chambre ? Ah, tu ne t’en rappelles pas ? Regarde donc, ça va te rafraichir la mémoire ».
La caméra zooma encore une fois et se dirigea vers la maison de mon enfance. Elle entra dans la salle à manger où étaient réunies de nombreuses personnes. Un gros gâteau d’anniversaire trônait au milieu de la table. Et moi j’étais là, prêt à souffler mes 18 bougies, jour mémorable le passage du statut de mineur à celui de majeur. Devant moi toute la famille proche. Mes parents bien sûr, mes grands-parents, ma sœur, cousins, cousines, tante Françoise avec mon oncle et tante Agathe, seule, car veuve depuis deux ans. Une fois les bougies soufflées, les convives se partagèrent les parts et ils levèrent leurs verres à ma santé.
Et voilà, j’étais majeur. Un cap de passé vers la vie active en étant un peu plus libre. Peu à peu, les convives se retirèrent, il ne resta plus que mes parents, ma sœur et tante Agathe qui habitait trop loin pour repartir le soir même. Elle devait prendre le train le lendemain en fin de matinée. Durant ...
... la nuit, un impressionnant orage éclata. Il se mit à pleuvoir des cordes et les nombreux éclairs illuminaient ma chambre malgré les volets fermés. Je n’étais pas vraiment peureux, mais cet orage-là était particulièrement violent et je n’en menais pas large.
Au moment où un violent éclair éclairait ma chambre, j’avais eu l’impression d’apercevoir une forme qui se dirigeait vers moi. Quelques secondes plus tard, une voix tremblante s’adressait à moi :
— Christopher, tu dors ? J’ai une peur bleue des orages, est-ce que ça ne te dérangerait pas si je restais un peu près de toi, j’ai tellement la frousse ?
C’était ma tante Agathe qui se tenait près de mon lit, grâce à la clarté des éclairs, je pus me rendre compte qu’elle était simplement vêtue d’une petite nuisette qui s’arrêtait à mi-cuisses. Elle ne devait pas avoir de soutien-gorge, car ses gros seins qui tombaient un peu se balancèrent quand elle me parla.
— Eh, oui bien sûr, répondis-je en m’écartant pour lui laisser un peu de place.
Elle se glissa doucement entre les draps et se coucha près de moi. Je sentais son corps trembler, elle sursautait à chaque fois que la foudre claquait. Pour lui laisser plus de place, je me mis sur le côté. Progressivement, elle s’approcha et se colla tout contre moi. Je sentais son corps trembler, ses seins étaient appuyés contre mon dos. Son bras droit vint se poser sur mon bras et sa main se mit à monter et descendre doucement le long du mien en me flattant.
Cette légère ...