L'amour au temps du corona - Histoires de Sexe

L'amour au temps du corona

... qui s’ouvre et qui jute de plus en plus et ça me fait bander de plus en plus fort. Avant de mettre ma queue dans ton ventre, j’ai envie de te lécher de haut en bas entre les fesses. Me saouler de tes odeurs et de tout ce qui coule de toi. J’essaie de me retenir, de me caresser plus doucement, mais c’est presque impossible. Si tu ne te retournes pas, je vais jouir à l’insu de mon plein gré.
— Retiens-toi encore un peu, je veux te voir décharger. Mais j’ai trop envie d’orgasmer d’abord. Regarde, je sens tes doigts et ta langue sur moi, je vais craquer. Comme les deux jeunes voyeurs qui giclent maintenant en même temps. De belles traînées blanches qui s’échappent de leur mandrin distendu. Je voudrais te sentir te vider contre moi, comme eux. Putain tu me fais du bien, je vais jouir !

Au bord de l’explosion à mon tour, je préfère ne pas la regarder augmenter son plaisir à pleines mains, le cul tendu vers ma tige, la chatte béante, offerte, prête à recevoir tout le foutre que mes frustrations accumulent dans mes couilles.

Pour faire diversion, je lâche ma bite et passe mes mains sur mes fesses, puis je reviens sur mes boules dures et hypersensibles.

La femme finit par se retourner, le ventre encore secoué de spasmes jouissifs. La mouille luit contre ses cuisses et sur ses doigts, la violence du plaisir qu’elle s’est donné se voit nettement sur son visage lumineux de volupté.

En s’allongeant sur le dos, elle m’offre encore plus que sa nudité et son désir de ...

... femelle. Elle me fait cadeau de cet instant furtif où l’orgasme transforme le visage d’une femme qui a intensément joui. Qui rend n’importe quel visage beau, et n’importe quel corps infiniment désirable.

— À toi, maintenant.

Elle écarte ses lèvres intimes avec ses doigts, met son clito à l’air et, après avoir mouillé son index, prolonge le plaisir et prépare le prochain orgasme en dessinant des cercles sur le haut de son sexe. Elle ne me prive d’aucun gémissement, je peux voir l’effet de chaque caresse sur son intimité, elle est juste sublime de désir et de jouissance. Aucun mâle ne résiste à une telle offrande.

Mais elle n’en reste pas là. Rampant jusqu’au bord du cercle de confinement, toujours sur le dos, elle me tend ses pieds joints. L’espace qu’ils forment entre eux ressemble de manière troublante à une immense vulve.

— Viens, prends ton pied avec les miens.
— Tu prends un risque énorme.
— J’ai calculé, le mètre de distance entre mon visage et ta queue est respecté. Et je suis souple, mais je ne me mouche pas avec les doigts de pieds. Lâche-toi !

Je glisse mon sexe dans le fourreau de fortune. En serrant et desserrant ses pieds, je change la pression qu’elle exerce sur ma verge. La sensation est inhabituelle, mais particulièrement stimulante. Elle fait monter mon plaisir beaucoup plus intensément que je ne pourrais le faire à main nue.

De son côté, la belle semble se régaler de ce qui se passe en moi. Elle attend les premières secousses avec impatience. ...