1. L'amour au temps du corona


    Datte: 03/05/2023, Catégories: f, h, fh, hh, hhh, fhh, cadeau, inconnu, médical, plage, vengeance, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, pied, Masturbation intermast, Oral nopéné, hsodo, jeu, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... fantasmes.
    
    L’intensité de l’éjaculation qui me secoue m’empêche d’entendre distinctement les mots qu’elle murmure en jouissant. C’est mieux ainsi, cet abandon de femelle en chaleur sous les yeux du responsable suprême de la nation est particulièrement obscène. Au point que je ne suis pas loin de penser qu’elle a toléré mon épanchement dans son cou et sur sa nuque pour mieux sentir sur sa peau ce qu’elle désire avec avidité de l’homme en complet bleu.
    
    C’est aux mots de « Vive la France, vive la République » qu’un dernier jet de sperme coule sur l’épaule de ma femme. Toute à son propre plaisir, elle parachève son orgasme en se caressant à deux mains la chatte et l’entre-fesse. Je lui offre un petit spasme supplémentaire en effleurant ses tétons encore dressés et sensibles. Comme pour lui faire comprendre que la seule virilité réellement accessible est encore la mienne, pas celle qui se cache sous un bureau de l’Élysée.
    
    Elle le ressent comme un attouchement parasite et grogne de déplaisir. Je n’insiste pas, quitte la salle de bain et décide de partir en balade au bord du lac à quelques kilomètres de notre domicile.
    
    Rien à faire des injonctions du Président et de sa clique. J’ai besoin de tout, sauf de confinement. De deux maux, je choisis le moindre pour moi. La nation peut attendre.
    
    ooo000ooo
    
    Muni de mon attestation de déplacement dérogatoire pour cause de ravitaillement au magasin du quartier, je vais acheter trois yogourts et un kilo de pommes. En sortant ...
    ... du commerce, plutôt que de rentrer chez moi par le plus court chemin, je contourne le bâtiment et m’enfonce dans une forêt qui me cache aux regards perçants d’éventuels gardiens de l’ordre épidémique.
    
    Je connais bien ce chemin que j’emprunte parfois en été pour aller me baigner. Après un kilomètre de marche, j’arrive sur une plage de sable fin. Déserte, comme il fallait s’y attendre. J’entends tout de même des voix, comme si deux ou trois personnes discutaient un peu plus loin.
    
    Plus loin, en été, c’est la zone naturiste. Même si ce n’est pas vraiment ma tasse de thé, j’y suis allé une ou deux fois pour me bronzer les testicules pendant des absences de ma femme.
    
    Je reprends mon chemin entre les arbres. Plus j’avance, plus je réalise que les humains qui s’y trouvent ne discutent pas, mais doivent s’adonner à des activités érotiques assez poussées. J’imagine le pire en termes épidémiologiques, si cette plage isolée est devenue un haut lieu de résistance au confinement génital.
    
    Il n’en est rien. Dans le parfait respect des règles de distanciation sociale, une femme d’âge moyen au corps épanoui a tracé un cercle à un mètre autour d’elle. Elle est allongée sur un linge moelleux, la jupe remontée sur son ventre, les seins sortis de son soutien-gorge.
    
    Comme ma femme tout à l’heure, elle se caresse d’une main tout en stimulant ses tétons de l’autre. Sa tête est basculée vers l’arrière. D’une voix particulièrement sexy, elle excite deux mecs qui la matent à bonne distance ...
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