Un week-end qui commence bien - Histoires de Sexe

Un week-end qui commence bien

... Néanmoins, il y a quelque chose que je n’ai pas encore vérifié : portez-vous également un string noir comme demandé ?
— Oui, Maître.
— Nous allons le vérifier. Donnez-le-moi.
— Maintenant ?
— Tout de suite, Soumise. Ne remettez pas en cause mes demandes, et appelez-moi « Maître » lorsque vous vous adressez à moi ! Cela fait déjà deux fautes : vous serez punie en conséquence.

Soumise acquiesça et s’exécuta. Fort heureusement pour elle, le café n’était pas bien plein à cette heure-ci. Elle commença alors un petit manège qu’elle essaya d’être le plus discret possible. En se dandinant, elle tenta, en remontant légèrement sa jupe, d’accéder à son string afin de le retirer. Au bout de quelques instants, je la vis rougir et arrêter son petit manège.

— Maître, je crois que j’ai fait une faute ; j’ai passé mon string avant mon porte-jarretelles, et je ne peux donc pas le retirer : il est bloqué par les fixations des bas.
— Effectivement, Soumise, cela ressemble bien à une faute importante.
— Je suis désolée, Maître, je n’ai pas tellement l’habitude de mettre des bas…

Amusé par la situation, j’imaginais déjà ce que je pourrais lui infliger comme punition. Cela me donna très envie de poursuivre dans un endroit plus adéquat. Nous avons fini nos verres et quitté le café.

J’avais réservé une chambre dans un hôtel du centre-ville ; elle était spacieuse et équipée de tout ce dont nous avions besoin. J’y étais déjà passé avant de me rendre au café ; ainsi, nous n’avions ...

... qu’à nous rendre directement à la chambre puisque j’avais récupéré les clés.

En arrivant devant la porte, nous avions tous les deux la gorge nouée ; la tension était palpable. Pressés d’entrer, avec une grande envie de démarrer cette session de jeux de domination-soumission, mais avec aussi une grande appréhension car c’était la première fois que nous allions faire ça « en réel », autrement que derrière un écran.

J’ouvris la porte de la chambre et fis entrer Soumise. Après une sommaire visite des lieux, je m’installai dans le fauteuil positionné dans un coin de la chambre pendant que Soumise déposait ses affaires près de l’armoire.

— Maître, puis-je aller aux toilettes ?
— Je suis satisfait que vous me demandiez la permission, Soumise : je vois que vous n’avez pas perdu l’éducation que je vous ai donnée. Cependant, je me vois dans l’obligation de refuser votre demande : vous êtes arrivée en retard à notre rendez-vous ; ce sera votre punition. J’espère que vous comprenez.
— Oui, Maître, je comprends. Merci, Maître, pour cette punition.
— Très bien, Soumise. Peut-être que maintenant vous pouvez commencer à vous mettre à l’aise et me montrer que vous avez bien un string comme demandé.

Elle acquiesça et commença alors à se dénuder. Au fur et à mesure qu’elle s’effeuillait, je la voyais se dandiner, l’envie d’uriner la pressant de plus en plus. Alors qu’elle venait d’enlever son soutien-gorge, dévoilant ses petits seins fort mignons et qu’elle ne portait plus que ses ...