Un week-end qui commence bien - Histoires de Sexe

Un week-end qui commence bien

Il s’agit de mon premier récit ; j’espère qu’il vous plaira. Si c’est le cas, j’espère bien lui donner une suite ; j’ai encore de nombreuses idées à développer dans les prochains épisodes, et ce serait dommage que ça s’arrête comme ça.Il n’est, à mon sens, de relations D/S véritables que celles qui sont sincères et qui mettent sur un même pied d’égalité le Dominant et la Soumise. Celles-ci seulement permettent au Maître d’accompagner sa Soumise dans la quête de ses limites en apprenant à mieux se connaître lui-même. Cela permet alors d’aboutir à l’épanouissement des deux personnes.

Depuis le temps que j’attendais ça… Cela faisait un petit moment que je préparais ce week-end qui devait nous permettre de concrétiser la relation D/S construite et développée à distance depuis de nombreux mois.

Nous devions nous rejoindre à un café à 14 h. J’avais demandé à ma Soumise de venir vêtue d’une jupe courte, de bas et porte-jarretelles ainsi que d’un string assorti.

Étant arrivé quelques minutes en avance, je me suis installé. J’ai choisi une table tranquille dans un coin et j’ai commandé une pinte et un verre de vin blanc.

Ma Soumise arriva. Elle s’était apprêtée avec soin pour me plaire, à moi, son Maître : un petit haut noir presque transparent qui moulait sa petite poitrine et laissait deviner son soutien-gorge noir, une jupe courte très serrée, un maquillage appuyé au niveau des yeux et un rouge à lèvres rouge vif. Sa chevelure blonde était tirée vers l’arrière et ...

... retenue par une pince. J’étais stupéfait : elle était encore plus ravissante que dans mon imagination ; rien à voir avec les habituelles images de mauvaise qualité provenant de sa webcam. Elle me faisait déjà de l’effet, ce qui était de bon présage en ce début de week-end.

— Bonjour, Maître.
— Bonjour, Soumise. Vous êtes en retard !
— Veuillez m’excuser, Maître.
— Vous serez punie, Soumise : respecter l’horaire d’un rendez-vous est fondamental. Veuillez vous asseoir.
— Oui, Maître ; merci, Maître.

Alors qu’elle s’asseyait, j’essayais de déterminer si elle avait bien mis un porte-jarretelles. N’arrivant pas à le voir, je lui demandai de me le montrer, ce qu’elle fit en remontant légèrement sa jupe. Je pus apercevoir le haut en dentelle de ses bas, puis le haut nu de ses cuisses et les attaches de son porte-jarretelles.

— Soumise, avant de commencer ce week-end, je souhaite tout d’abord vous rappeler le mot de sécurité que nous avons choisi : « Ornithorynque ». Je vous rappelle aussi que vous devrez m’appeler « Maître » chaque fois que vous vous adresserez à moi, et que vous ne pourrez rien faire sans que je ne vous en donne la permission. Pour le reste, je pense vous avoir suffisamment éduquée depuis tout ce temps, pour que vous sachiez ce que j’attends de vous. Ceci étant dit, trinquons à ce week-end qui s’annonce de bon augure.
— Oui, Maître, à ce week-end ! Je souhaite vous montrer à quel point je suis une bonne soumise.
— Très bien, Soumise, je l’espère également. ...