Série « Les voisins » Épisode 3 : Après la boulangère Gérard baise sa fille mais pas que. Partie 2/2
Datte: 28/04/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... pourtant l’impression de nous aimer, nous ne nous disputions que rarement. Seulement à partir de là, nous n’avions que des rapports sexuels sauvages qui nous contentaient tous les deux.
Lors de mes tournées, les dimanches étant une journée de folie, j’avais pour m’aider la fille des patrons, âgée à cette époque, de 16 ans. Pendant les deux premières années, tout s’était bien passé, Sylvie était une adolescente super sympa, nous étions devenus assez complices et nous nous amusions beaucoup en nous moquant de certains clients lorsque nous étions sur la route. Bien entendu, tout ne se passa pas comme je l’avais espéré. En vieillissant, j’avais tapé dans l’œil de la jeune Sylvie qui, à presque dix-neuf ans, commençait à faire tout pour m’aguicher. J’essayais de résister à ses avances, je ne voulais pas perdre Christiane.
Ces dimanches-là, à l’arrière de la camionnette, lorsque nous étions sur les places des villages, comme nous étions un peu trop à l’étroit, toutes les occasions étaient bonnes pour elle, pour frotter contre moi son cul ou son pubis. Il lui arrivait même souvent de passer sa main sur mes fesses, sur mes hanches ou sur mes cuisses en s’esclaffant : « Excuse-moi Gérard ! On n’a que très peu de place ici. » C’est vrai qu’elle était bandante la petite Sylvie, pourtant elle ne faisait pas vulgaire, elle était jolie avec ses grands cheveux châtains tout bouclés retombant sur ses épaules. Elle avait de grands yeux noisette, un peu de fard mauve couvrait ses ...
... paupières et ce rose à lèvres brillant rendait sa bouche sensuelle. Comme sa mère, elle était grande avec une poitrine ferme et un très joli petit cul charnu. Fut un temps, je n’aurais pas hésité longtemps pour la sauter.
Deux mois plus tard, en me regardant avec son sourire provocateur, elle n’avait pas cessé de me toucher ce matin-là. Puis pendant que je fermais le panneau latéral sur la place du dernier village de la tournée, j’étais penché vers l’avant les bras tendus sur les poignées, elle passa derrière moi et se plaqua contre mes fesses, passant ses deux bras autour de ma taille et une de ses mains se posa sur mon bas ventre en tâtant mon sexe. Après toutes ses allusions et les attouchements qu’elle m’avait prodigués pendant la dernière vente, j’étais bel et bien encore en érection. Ayant les deux mains prises, je n’avais pu lui retirer les siennes : « Arrête Sylvie ! Que fais-tu bon dieu ? » lui dis-je en élevant la voix : « Ne me dis pas que tu n’aimes pas, tu bandes comme un cerf. » Me répondit-elle en riant, sans aucune gêne.
J’avais eu envie de la disputer mais en la regardant me sourire, je m’étais mis à rigoler avec elle, croyant qu’elle m’avait fait une blague, enfin j’avais peine à le croire mais c’était ce qu’elle m’avait certifié. Ayant fini notre tournée, au moment du retour à la boulangerie, sur la route elle posa sa main sur ma cuisse, cette petite salope avait de la suite dans les idées et dit de but en blanc : « Dis-moi Gérard, t’as une grosse queue. » ...