1. Série « Les voisins » Épisode 3 : Après la boulangère Gérard baise sa fille mais pas que. Partie 2/2


    Datte: 28/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... elle mouillait comme une folle. Je m’amusais aussi sur sa petite rondelle encore vierge de ce côté-là. Mon cunnilingus dut lui plaire car après seulement quelques minutes, elle jouit elle aussi, sur ma bouche. Elle redescendit de son perchoir et vint me sucer de nouveau.
    
    Sylvie était douée, elle n’avait mis longtemps pour redonner vie à ma queue qui bandait de nouveau. J’enfilais un préservatif pendant qu’elle sauta sur l’étal et très vite je la pénétrais, la ramonant comme un forcené, je lui remplissais la chatte sans retenue pendant plus d’une dizaine de minutes avant qu’elle ne jouisse une deuxième fois, inondant ses cuisses. Elle avait poussé des petits cris pendant toute la pénétration, elle aimait se faire baiser cette petite salope et moi je ne pensais qu’à la prendre comme une chienne.
    
    J’avais très envie de la punir en lui faisant mal au cul car je m’étais promis de l’enculer. Je l’attrapai et la fit descendre afin de la mettre à quatre pattes sur le sol, je lui avais écarté les cuisses avec force. Je me mis à genoux devant elle pour lui baiser la bouche en gorge profonde, cela fut pénible pour elle qui ne connaissait pas encore cette méthode. Elle était exténuée mais je n’en avais pas encore fini. Je me mis derrière son cul, je poussai mon gland sur son petit trou avec mon pouce, sans délicatesse, puis d’un seul coup de rein, je lui avais défoncé l’anus :
    
    — Oh putain ! Tu fais mal ! Aie… Hurla-t-elle.
    
    Je l’enculais comme un sauvage, elle criait en ...
    ... permanence : « Oh putain ça fait mal ! » ou encore « Aie, aie, aie ». Puis une fois que son anus fut largement dilaté, je ressortais entièrement ma queue épaisse et lui giflais les fesses fortement, avant de me retrouver dans son fondement. Je l’avais couchée sur le côté, je me mis derrière positionnés en petites cuillères. Ses petits cris changèrent de tonalité, ils se transformèrent en : « Oh putain oui ! » « Oh, oui ! Oh c’est bon ! » Gémissait-elle tout en se frottant le clito. Je la sodomisais sans ménagement, je la pistonnai ainsi pendant plus d’un quart-heure, avant qu’elle ne jouisse. Je n’en pouvais plus, je retirai ma capote et j’éjaculai enfin sur ses fesses.
    
    Voilà comment je n’avais pu m’empêcher de baiser la fille du boulanger. Lorsque nous étions rentrés avec quarante minutes de retard, sa mère trouva drôle, d’autant plus que Sylvie avait des difficultés à marcher, elle avait vraiment mal au cul. J’avais trouvé l’excuse d’une panne, mais Christiane n’était pas née de la dernière pluie. Celle-ci qui voulait divorcer depuis un an était restée uniquement pour moi. Le mardi à 13 heures, lorsque j’étais revenu de tournée, nous nous étions retrouvés dans son bureau comme d’habitude. Seulement ce ne fut pas pour faire l’amour. Lorsque j’avais voulu l’embrasser, elle me repoussa et me dit que tout était fini entre nous qu’elle savait ce que j’avais fait à sa fille.
    
    Le lendemain matin, Henri mon patron m’annonça que son épouse l’avait quitté. Christiane était partie de ...
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