L'histoire se répète
Datte: 28/04/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
frousses,
couple,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
historiqu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... profité de Jeanne en public comme en répétitions, Moïse négocia facilement l’utilisation des jumelles de temps en temps. Ils adoraient les défoncer en même temps, côte à côte. Alice imaginait le magnifique spectacle qu’ils auraient pu donner et, en maîtresse de cérémonie, elle se glissait entre les deux couples et massait à pleines mains les deux grosses paires de testicules avec un plaisir infini. Un autre de ses grands plaisirs teintés de perversité et de libertinage fut de décider qu’il était temps que Jeanne soit mère. La sensualité du corps de cette fille l’excitait beaucoup, elle aurait aimé pouvoir l’engrosser elle-même, chose évidemment impossible. Elle se prit donc à la caresser quotidiennement tout en masturbant l’un et l’autre de ses colosses et, lorsqu’elle sentait leur jouissance approcher, elle guidait elle-même leurs pénis dans le vagin de Jeanne et terminait de les faire jouir en elle. Elle avait un orgasme à chaque fois qu’elle sentait dans sa main la pression du sperme traverser le lourd tuyau de chair.
Mais bien sûr, à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler, et Alice tomba elle aussi enceinte, peu de temps après Jeanne. Elle accepta la chose comme une évidence et se réjouit de donner un petit frère ou une petite sœur à Clarisse, fût-ce un enfant métis.
Et des enfants métis, il y en eut plusieurs, quatre au total, qui jouaient sans soucis avec les nombreux petits négrillons de la plantation. La chapelle était transformée en école ...
... durant la semaine, et Alice apprenait à lire et à écrire à tous, indifféremment. Ce n’était plus la richesse ni l’opulence qu’on avait connu, mais tout le monde mangeait à sa faim et la propriété était assez bien tenue. C’est ce que constata le Colonel Porter quand il y pénétra à la tête de son détachement de cavalerie. La guerre de sécession arrivait jusqu’à Beaumont en y faisant plus de dégâts que les ouragans. Les soldats tombèrent sur un rempart de noirs regroupés autour de leur « Madame » pour la protéger.
— Que voulez-vous ? demanda Moïse à l’officier.
— Nous venons vous libérer du joug de vos oppresseurs. Désormais, vous êtes libres.
— Ha-ha-ha! Mais nous sommes déjà lib’es depuis bien longtemps ! Passez vot’e chemin.
— Comment cela ? Où est votre maître ?
— Nous n’avons pas de maît’e, mais un employeu’. Voici Madame Gamotte…
Les soldats avaient déjà allumé leurs torches pour mettre le feu aux champs et au manoir. Alice s’avança, très digne. Malgré sa quarantaine dépassée et ses cinq grossesses, elle était encore magnifique dans sa grande robe revêtue en hâte. Elle défendit son bien avec vigueur et conviction, expliquant que depuis très longtemps les travailleurs noirs étaient libres de rester chez elle et qu’ils étaient rémunérés, avec le livre de comptes pour preuve. Oui, elle avait acheté des esclaves, mais rapidement elle leur avait rendu leur liberté, espérant seulement qu’ils resteraient travailler chez elle parce qu’ils y étaient bien. Interrogés, tous ...