L'histoire se répète
Datte: 28/04/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
frousses,
couple,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
historiqu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... mordre les lèvres jusqu’au sang pour étouffer son cri de surprise et de douleur. En même temps que l’esclave, Norbert besogna l’anus de sa maîtresse avec lenteur, profondeur et vigueur.
— Oooooh ! Ça… Capitaine… Mais vous m’éperonnez ! chuchota-t-elle enfin.
— Ta poupe est la plus belle que j’ai jamais vue, surtout sous ce clair de lune. Je te veux toute à moi, mon amour, et de toute les manières possibles jusqu’à mourir en toi.
De fait, ce spectacle les avait mis dans un état second. Tout juste à cette époque si une femme montrait une cheville ou la naissance d’une poitrine ; seules, quelques cartes à jouer portaient des croquis licencieux, plus suggestifs que réalistes. Même les écrits du Marquis de Sade ne circulaient pas encore sous le manteau. Alors contempler à loisir trois beaux spécimens dans des actes auxquels les précédents maîtres les avaient parfaitement formés, les plongea jusqu’au matin dans une frénésie sexuelle jusqu’alors inconnue. Quand elle repensa à leur réaction, Alice en tira certaines conclusions et quelques bonnes idées.
Ils déjeunèrent avec Martin, le régisseur, pour s’informer sur la plantation.
— Madame, Monsieur, je voudrais vous dire d’abord combien je suis heureux que vous me gardiez à la plantation. Elle représente tant pour moi, tant de travail et d’efforts. J’ai essayé de l’acheter pour ne pas la quitter, mais je savais d’avance n’être pas assez riche pour cela.
— Tout de même, Martin, nous connaissons par cette vente le ...
... montant de votre magot qui n’est pas négligeable.
— Je le dois à ces mains et à mon travail. Mais il faut rendre hommage à Robert Courtin, de Longueville, qui avait fait beaucoup de recherche sur la culture du coton. Hélas, moi je ne sais ni lire ni écrire… C’est lui qui a mis au point l’irrigation qui l’a rendu si riche l’année de la sécheresse. Mais il n’a pas tout dit à ses collègues planteurs.
— Ah ah ? Dites-nous tout.
— Il a mis au point l’amendement des terres, par le brûlis des cotonniers. Si d’autres le font, ils oublient le paillage et l’apport de fumier. Et en dernier lieu, lorsqu’il a pu acquérir la plantation voisine qui va jusqu’au fleuve, nous avons mis en place ce qu’il appelle l’assolement.
— C’est à dire ?
— Nous avons divisé la plantation en trois parcelles et seules deux produisent du coton. La troisième est plantée en d’autres choses, du maïs, des pommes de terre et de la prairie pour faire pâturer quelques animaux. La terre se repose et se régénère avant de s’épuiser, et chaque année cette parcelle change de place. Ainsi, je crois qu’une belle production est assurée chaque année.
— Et ça rapporte beaucoup ?
— Ma foi, il ne faut pas se plaindre. À part l’année exceptionnelle, une production normale rapporte environ dix mille livres.
— Ah quand même ! Ce n’est pas rien, s’exclama le capitaine.
— C’est vrai Monsieur, mais pour maintenir ce niveau de rapport, il y a beaucoup de frais : le matériel s’use, il faut le remplacer, la nourriture des esclaves, ...