1. La voluptueuse dégradation de Florence (1)


    Datte: 27/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... la hampe, constatant la douceur incroyable de la peau du black, le gland rebondi du blanc dont un fil visqueux et translucide s’étira bientôt vers le sol. La femme recueillit le fluide pour en recouvrir le gland qui se mit à luire. Impatientes, les bites s’avançaient autant que possible et rapidement, Florence put aussi caresser les couilles qui dépassaient en partie des trous. Involontairement, comme lui venait l’eau à la bouche, elle avait commencé à passer sa langue sur ses lèvres et avait rapproché son visage de la grosse queue noire.
    
    Quelques heures auparavant, Corentin, entouré de 5 camarades, fêtait sa majorité nouvellement acquise à Montmartre, passant d’un bar à l’autre avant de glisser naturellement, pour ainsi dire sous l’effet de la gravité, vers Pigalle.
    
    La joyeuse troupe de lycéens léchait les vitrines des sex-shops, y entrait parfois sous le regard inquiet des commerçants, riait devant les articles colorés et obscènes.
    
    C’est dans une espèce de supérette du sexe que Corentin tomba en arrêt devant un autre groupe piaillant, bien plus bruyant que le sien. Six femmes d’âge moyen se poussaient des coudes devant une vitrine remplie de godes de différentes tailles, rangés à la manière des Dalton.
    
    — Putain, les gars, Coco kiffe teeeeelement les MILF qu’il nous fait une syncope. Que quelqu’un appelle les pompiers ! s’écria un black qui dépassait ses copains d’une bonne tête.
    
    — Arrête tes conneries Djib, regarde ce cul, regarde-le bien, tu le ...
    ... connais !
    
    — Oh good Lord, holly fuuuuuckin’shit, ce cul ne peut appartenir qu’à une seule personne.
    
    Les mains sur ses genoux, inclinée en avant pour observer sous la vitrine des Daltons une collection de canards vibrants, Florence offrait à la vue des grands ados son cul dans toute sa splendeur épanouie. Sa robe moulante remontait derrière ses cuisses jusqu’au liseré des Dim’up qu’elle découvrait en partie.
    
    — Nom de Dieu, s’écria trop fort Léo, un petit blond à la figure de fouine et aux cheveux trop chargés de gel, c’est c’te pute de Madame C, la prof de français. Il avait postillonné en appuyant à l’excès sur le P de pute.
    
    — Mais ferme ta gueule, fukin’ puceau, s’interposa Djibril en agitant de manière menaçante un énorme poing devant Léo.
    
    Mais les femmes ne faisaient aucun cas des autres clients et peu de cas à vrai dire de tout ce qui les entourait, prises dans leur tourbillon de rires et de cris à l’exception des objets chatoyants et sulfureux qui les entouraient. L’une d’elles aspira derrière elle tout le groupe qui disparut sous un épais rideau rouge surmonté d’un panneau qui indiquait en lettres clignotantes « Peep -how, glory-hole, adults only, no camera »
    
    Après une brève délibération, les ados suivirent. Leurs cartes d’identité furent soigneusement examinées à l’entrée par une espèce d’armoire à glace avec un accent russe qui leur recommanda la plus grande discrétion et la plus parfaite courtoisie, à défaut de quoi ils seraient tous virés « manu militari »
    
    — ...
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